"-Qui
a volé comme un faucon sur toute la terre a la recherche de son mari
perdu?
La plume qui s'envole enroulée des brumes et de la poussière des anciens.
S'élève dans les vents au dessus de soleil de l'Est.
La forêt nourricière reverdit et nous apporte l'allégresse, ainsi ce renouvelle la joie et la pure fleur s'ouvre a nouveau, nous offrant de son parfum.
Qu'il est doux le temps du printemps.
Qui place sa cape de faucon sur les épaules de ceux qui souffrent de douleur et des peines de ce monde?
Ici loin d'Asgard ou même les grotesques marchandages Uthardiens n'ont plus cours.
Quelle drôle d'idée...
Persiste dans la tète du beau merle persifleur?
Laissons les menteurs a leur menterie.
Que le temps était joyeux et beau autrefois, quand l'arbre de Mai trônait sur la place du village.
Quand les Druides honoraient le bétail en deux feux de bel.
Qu'il est doux le souvenir des choses simples, des danses, des chants et des festins et le goût quand on y a goûté.
La destiné des hommes n'est pas toujours aussi dure qu'on ne le pense.
Pourquoi cette pensée persiste t'elle dans nos esprits?
Cherche est écoute les paroles oubliés, les mots anciens qui murmure les sources aux eaux chantantes, que te soufflera les branches dans les vents du nord, que fredonne les profondeurs forestières et les nains ou les fées de Brocéliande les fleurs de pommier elles aussi ont tant de choses a dire.
L'éclat orangé du soleil et la froideur bleu de la lune te conduiront dans ce pays ou les soucies s'oublies facilement, dans la merveille et la joie d'être en vie.
Pense alors a la misère des hommes mortels destiné au trépas.
Apporte leur un peut de cette paix, de ce mouvement cyclique et séculaire. Ils seront en paix et réconfortés.
Par le simple vent frais dans les branches, l'éclat plus brillant du soleil, et les joies simples de la vie.
Alors tu la ressentira toi aussi la chaude, douce et réconfortante cape de plume que Freya aura posée sur tes épaules."
La plume qui s'envole enroulée des brumes et de la poussière des anciens.
S'élève dans les vents au dessus de soleil de l'Est.
La forêt nourricière reverdit et nous apporte l'allégresse, ainsi ce renouvelle la joie et la pure fleur s'ouvre a nouveau, nous offrant de son parfum.
Qu'il est doux le temps du printemps.
Qui place sa cape de faucon sur les épaules de ceux qui souffrent de douleur et des peines de ce monde?
Ici loin d'Asgard ou même les grotesques marchandages Uthardiens n'ont plus cours.
Quelle drôle d'idée...
Persiste dans la tète du beau merle persifleur?
Laissons les menteurs a leur menterie.
Que le temps était joyeux et beau autrefois, quand l'arbre de Mai trônait sur la place du village.
Quand les Druides honoraient le bétail en deux feux de bel.
Qu'il est doux le souvenir des choses simples, des danses, des chants et des festins et le goût quand on y a goûté.
La destiné des hommes n'est pas toujours aussi dure qu'on ne le pense.
Pourquoi cette pensée persiste t'elle dans nos esprits?
Cherche est écoute les paroles oubliés, les mots anciens qui murmure les sources aux eaux chantantes, que te soufflera les branches dans les vents du nord, que fredonne les profondeurs forestières et les nains ou les fées de Brocéliande les fleurs de pommier elles aussi ont tant de choses a dire.
L'éclat orangé du soleil et la froideur bleu de la lune te conduiront dans ce pays ou les soucies s'oublies facilement, dans la merveille et la joie d'être en vie.
Pense alors a la misère des hommes mortels destiné au trépas.
Apporte leur un peut de cette paix, de ce mouvement cyclique et séculaire. Ils seront en paix et réconfortés.
Par le simple vent frais dans les branches, l'éclat plus brillant du soleil, et les joies simples de la vie.
Alors tu la ressentira toi aussi la chaude, douce et réconfortante cape de plume que Freya aura posée sur tes épaules."
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