samedi 30 mai 2020

L'élévation Druidique des trois Cercles (Druidisme Ancien des Hyperboréens)


L'élévation Druidique des trois Cercles :
Je vous poste ce sujet sur le travail druidique a faire sur soit pour retrouver sa place au sein du sacré avec les trois cercles Druidique que sont Abred (la Matière) Keugant (le monde Spirituel) et (Gwenved « le monde blanc » entre la matière et le spirituel soit le sacré)
Après l'initiation Druidique a proprement parler, le Druide suis au sein de son cheminement une voie qui va le mener a la rencontre des trois cercles. Ce travail peut être commencer en période de Samhain et en Hiver jusqu'à Imbolc Le cheminant va éprouver ses peurs, contempler ses anciennes blessures et les traits de caractère de sa personnalités profonde, sa part de lumière, sa part d'ombre et être mit a l'épreuve, des illusions de l'ego ou de ses fantasmes a propos de sa personne, (ou de la personne qu'il pense être) Bien sur il pourra quand même être Druide dans un groupe sans accomplir ce travail qui a mon sens est personnel, mais il ne franchira pas le cercle de la matière (abred) du moins pas par un travail sacré dans ses traveaux de devin ou de barde. Il y a ensuite l'étude et la magie cérémoniel au fils du temps. Le plus important c'est d'avoir du lien et d'en crée, du sens avec ces trois cercles. Ce que je prpose là est un travail dans un cadre méditatif et de pratique des EMC (états modifier de conscience ) il ce pourrait que ça ne vous conviennent pas, dans ce cas là ce n'est pas grave on peut faire les choses différemment ou voir les chose sous un autre œil ce qui est bien aussi.

Les trois mondes primordiaux des anciens druides étaient des cercles :
Les trois Cercles sont un tracé symbolique, qui est une sorte de cartographie de la Sagesse Ancestrale Celtique des Anciens Druides.
Le premier cercle, le plus grand, est à l'extérieur et s'appelle Abred. Il signifie et matérialise le monde visible de la matière.
Le deuxième cercle, à l'intérieur, s'appelle Keugant, il personnalise le Monde invisible. Les Mondes spirituels des Dieux et des Esprits.
Le troisième cercle, le plus dur a attendre est au centre des deux précédents, se nomme Gwenved, ce qui signifie le Monde Blanc.
(Il y a différentes représentation de ses trois cercles, celle là est la plus utilisé, j'en ai trouver une autre plus parlante 'que j'aime mieux' que j'ai poster en bas du sujet en illustration).
Les trois Cercles de l'élévation chez le Druide de l'ancien chemin Druidique résument la Sagesse traditionnelle occidentale, avec simplicité et précision. Ils sont comme un tracé régulateur qui invite l'initié au travail intérieur et a l'action extérieure (sur plusieurs années) afin de devenir Druide au regard des mondes subtiles des Dieux.
Les trois Cercles ne sont pas des degrés hiérarchiques, erreur de traduction parfois faite chez les Druides des Ordres, mais c'est une chose qui reste quand même valable si on fait un parallèle avec les grades de la Franc-Maçonnerie, (le plus important c'est d'adapté et que ça ai du sens, que cela fonctionne) donc dans notre cas ce ne sont pas des degrés hiérarchiques mais simplement des plans différents d'une même réalité.
Le premier n'a pas plus d'importance que le dernier, tout est dans le tout, seul le chemin pour y parvenir a de l'importance.
Ils sont simplement un mode d'emploi qui permet a l'initier de ne pas rester bloquer au stade de Abred et donc de stagner au grade d'apprenti toute sa vie.
Pour l'élévation de apprentie au stade de Druide officiel il faut être reconnue par les Divinités dans les mondes spirituels,
et pour ça les trois cercles sont un manuel cohérent et compréhensible pour cheminer dans la druidité.
L'univers est tellement complexe qu'il nécessite de le percevoir à travers une attitude inspirée par la simplicité.
Il est aussi accessible a celui qui souhaite comprendre la sagesse des Dieux et les lois de l'univers, depuis notre niveau existentiel humain, forcément limité par la condition humaine.
Mais il devient simple et évident pour celui qui pénètre ses secrets pas l'intuition et le ressenti.
Les trois monde spirituels (le monde d'en haut, celui du milieu, et le monde d'en bas) ne peuvent se percevoir que dans une globalité ponctuel. On ne peux y aller de façon permanente, quand on est au stade de ceux qui on le potentiel pour passer du cercle d'Abred a celui de Keugant (de la matière ou monde spirituel) par la pratique du Voyage Astral. (ou migration de l'âme).
Ensuite les cercles de Abred, Keugant et Gwenved fond partie les uns des autres, nous devons avoir la capacité de les voir dans cette globalité originelle. Car la fragmentation des connaissances contenue dans ces niveaux d'expérience d'état d'être (ou de vécu) nous empêcherait d'accéder à la compréhension globale des enseignements Druidiques.
Cette simple évidence nous renvoie à nos limites et c'est pourquoi les Anciens Druides nous ont donné avec les trois Cercles de l'élévation une approche de l'unité primordiale.
Ils nous est donc obligatoire pour être et demeurer de véritable Druide (et pas de ce contenter de faire de la réconstitution historique, quoi que c’est une partie fort plaisante aussi) de faire ce travail nécessaire sur nous même, pour justement dépasser le cercle d'Abred et aller de l'avant pour ne pas rester bloquer au stade de l'apprentie toute notre vie, comme s'en contente nombre de Druides. Pour ce faire nous devons entrer totalement dans l'enseignement des trois cercles de Abred-Keugant-Gwenved.
Il est nécessaire au postulant Druide d'abandonner « les Pourquoi et les Comment », et de fusionner sans réserve avec l'esprit de la sagesse, les forces de la nature et de faire liens (certain dissent : « être un canal ») avec les Dieux et les Ancêtres. Sans ce travail, ce potentiel réaliser le traval pour être Druide ne trouve pas sont plein potentielle si on veux être un « canal » Ou alors le plus souvent qui ressemblera a une copie de Prêtre « Chrétien ». Noter que des personnes comme ça il nous en faut aussi, et des personnes qui sont spécialisé pour animer des groupes et des Clairières et forte de leur instructions et de leur savoir sur les anciens peuples et civilisations. Rester et pratiquer uniquement dans la matière, limite et détruit tout potentiels si on veux être un canal ou un intermédiaire, comme un médium. Et tous commence de là en réalité, on ne devient Filidh (Barde) ou Faith (Ovate) qu'après car c'est en découvrant sont propre potentiel chez les Dieux qu'on ramène le savoir appris chez eux depuis le monde spirituel vers le monde matériel. Ce qui est de toute façon plus logique quand on étudie les Anciens Grades Druidiques.
Donc il est nécessaire pour saisir les substances cacher dans les trois cercles, d'y adhérer totalement en imaginant que c'est la seul vérité qui soit (non pas que ce soit réellement la seule) mais sa aide de ce dire ça, car le travail qui suit est vraiment très dur, car pour pouvoir, faire face a nos peurs, a nos fantasmes, a nos illusions, a l'ego dans lesquels nombre de Druides ce perdent. Il nous faut avoir la force de pouvoir faire la synthèse des leçons de notre vie et des chose vécu dans l'apprentissage, l'étude, l'initiation, le travail sur soit et l'élévation au Druidisme. Pour vivre pleinement la chose , il faut avoir assez confiance en soit et avoir assez de force en soit et de courage pour pouvoir avec l'aide des Dieux, retrouver pleinement et durablement sa souveraineté. C'est un impérieux devoir, qui doit être accomplie avec la sagesse extérieur, mais aussi et surtout notre sagesse intérieure. Être aimée et pénétrée pas les expériences vécus en Abred et en Keugant (dans le monde matériel dans votre vie au côté des hommes et dans les mondes des Dieux a leurs côté).
Je vais vous expliquer comment travailler procéder avec les trois cercles.
Mais la chose la plus importante a comprendre c'est que le Druide doit avant tout développer sa capacité a se fondre dans la Sagesse extérieure, pour retrouver une Sagesse intuitive et innée, qui nous est demandée par nos Dieux.

Voici trois exemples de la représentation des trois mondes, nous pouvons symbolisé ça par des boucliers aussi ou alors trois chaudrons, comme dans le travail de que publier sur ce blog au sujet du travail a faire avant de pratiquer le Seidr avec les runes, c'est la même chose ici mais dans un cadre purement celtique. 





Abred :
Le monde visible et matériel, la force et la couleur rouge dans ce travail Druidique là, dans d'autre circonstance c'est le bleu qui est associer a Abred.
Ce premier Cercle de l'élévation Druidique représente le Monde Visible, Tangible et Matériel.
Le rouge d'Abred est la lave du volcan, cette énergie puissante qui nous pénètre et nous nourrit. Nous sommes comme des petits enfants qui s'abreuvent aux seins de la Mère-Terre. Cette mère nourricière des Druides a plusieurs noms, Gaïa, Dana, Nerthus, Maïa, Patchamama...
Elle est vénérée, honorée et respectée car elle nous a donné la vie. Elle nous porte et nous nourrit, tout au long de notre expérience Terrestre.
Le Cercle Druidique d'Abred et celui ou on apprend a faire, a pratiquer des rituels, a célébrer des fêtes et des événements « Druidique » a étudier de manière didactique. Nombres de Druide se contente de travailler sur ce cercle et laisse de côté les suivants que sont : « Keugant » et « Gwenved ».
Le Sage insiste sur cette vérité car le jeune initié du premier cercle s'il souhaite accéder au autre cercle et devenir « vraiment » Druide ne doit s'intéresser qu'au Monde visible afin de maîtriser la matière. Ce Monde va lui renvoyer tel un miroir tout ce qui sera nécessaire pour faire son travail sur lui. (encore faut il qu'il le veille et en soit capable). Ses émotions, ses blessures, ses failles seront un véritable chantier qu'il devra entreprendre afin de pouvoir créer les fondations de la réalisation de sa vie. Beaucoup de Druides ce contentent de rester bloquer au cercle d'Abred, sans chercher à travailler sur eux même, par peurs de découvrir qui ils sont ou par lâcheté pour ne pas faire face a leurs failles, ou simplement parce que au fond d'eux même ils savent qui ils sont et n'ont pas la force d'affronter les Dieux dans le cercle de Keugant. C'est plus simple de faire semblant de ne pas voir ou comprendre et de fermer les yeux sur ce qui devrait être fait. Ils choisissent le chemin de la facilité.
Les Druides « Muggles » :
Ce sont les Druides qui en fait ne le sont pas vraiment, parce qu'ils n'arrivent pas a dépasser le cercle d'Abred.
J'en ai rencontrer beaucoup des Druides qui étaient (et sont probablement toujours) incapable de ce connecter a la nature, aux dieux et ne comprenaient pas l’intensité de ce que je leur décrivait. J’ai un ami Druide Américain qui parle avec justesse de Muggles (les fameux « Moldus » dans Harry Potter), pour qualifier les Druides qui n’ont pas accomplis ce travail. La c’était une boutade sous le ton de l’amusement. La situation en France est bien grave, c’est a dire que les uns sont dans une recherche de satisfaction de leur égo, par l’obtention du « statue » de druide et d’autre théorise trop, j’ai croiser pas mal de monde qui pense par exemple que les dieux des panthéons Gaélique et Nordique son les mêmes dieux mais a des époques différentes, en ce basant sur la vision « romana » entre les dieux Grecques et Romains. Hors si c’est le cas pour les Greco-Romains, ce n’est pas le cas pour les autres constituer de deux panthéons, en tout cas suite a mon retour avec ces divinités là. Mais ce n’est que de la Gnose personnel, on est bien libre d’aborder les deux comme bon nous semble et a juste raison encore plus. Les théories c’est très bien j’en fait moi aussi mais c’est contre productif, je trouve. Pour donner suite a mon idée la dessus je dirais que le druidisme c’est un jardin quand dans ce jardin il y a différentes maisons et dans ces maisons se trouvent nos dieux et nos ancêtres … etc, avec le travail sur les trois cercles nous pouvons trouver la clé apprendre a ouvrir la porte, entré dans le jardin et entrée dans les différentes maisons qui sont au centre. Et bien pendant que je fait ça les Muggles sont encore a ce demander si l’objet qu’il on trouver c’est un clé et si il y a une porte où même t’elle ??
C’est en ça que le travail est important et libre a chacun de l’entreprendre ou pas… il n’y a pas de dogmes, pas d’interdit ou d’obligation chez nous, juste du travail a faire, une charge a endosser et trouver la volonté de le faire. Ensuite devenir une meilleur personne, pour nous même, pour nos proches et pour les autres, partager et échanger avec amour et paix. En sommes devenir un Druide.
Certains oublient que le Druidisme n'est pas qu'une simple représentation dans le monde matériel d'Abred, ça n'est pas un cursus ou une suite de stages.
Le cheminement druidique est une Quête intérieure qui prend plusieurs années, voire toute une vie. S'engager dans le Druidisme c'est s'engager dans cette Quête, de la mener de la façon la plus consciencieuse et persévérante qui soit; devenir Druide n'est pas un but en soi. C'est le travail sur soit et le chemin qui importe le plus, et ce qu'on peut apporter a nos Divinités (en échange de leur aide et de leur amour).
Être Druide, c'est s'inscrire dans une Tradition. S'inscrire dans une Tradition c'est recevoir ce qui s'est transmis pour pouvoir être capable un jour de transmettre à son tour, et être capable d'accompagner les autres spirituellement.
Être Druide, c'est avoir reçu les initiations requises pour pouvoir ensuite être initiateur, c’est endosser la responsabilité de la charge qui nous incombe, alors par les hommes dans un groupe, mais aussi par les dieux, le rapport qu’on a entre les dieux et nous, le monde des hommes et l’autre monde, mais aussi au regarde des ancêtres qui étaient la bien avant nous et au regarde de la terre ou nous vivons et de nos contemporains, les gens de notre communauté, de notre village, de notre famille et de notre clan et pourquoi pas fonder un groupe, un un foyer élargie avec une grande famille druidique, mais on ne peut faire tout ça si on est encore perturber par notre passé, si on n'a pas fait le travaille nécessaire sur soit pour avancer. Ou alors on fait semblant d'être Druide, c'est du théâtre dans ce cas.
Le Druidisme tel que je le conçois, est une chemin de réflexion et d'action, dans le respect de certains principes : le vrai, le juste, l'amour, l'humanisme et la liberté.
Pour moi ce qui importe avant tout dans le Druidisme c'est d'être authentique et sincère. Et la seule façon d'y parvenir est d'être ce que l'on paraît et paraître ce que l'on est.
Et la seule façon d'y parvenir c'est d'apprendre à discriminer entre ce que nous souhaitons être et ce que nous sommes vraiment.
Ce qui n'est rien d'autre qu'une reformulation du fameux "Connais-toi toi-même!" ou encore de " Soit et montre ce que tu es dans tes actes!"
Le Monde visible d'Abred est implacable et sans concession. Ce qui n'est pas guéri s'imposera dans notre quotidien. Les blessures de notre enfance, les empreintes générationnelles, les réflexes émotionnels dus à nos mémoires cellulaires (qui contiennent l'histoire des humains et plus particulièrement l'histoire de notre âme), nous sauteront à la gorge comme des prédateurs impitoyables.
Il n'y a donc une nécessité de travailler sur nos sous-personnalités dominantes et parfois cachées (l'ombre et la lumière).
Dans cette œuvre, aucun répit ne nous sera donné, jusqu'à notre dernier souffle.
Les Sages insistent sur l'impérieuse nécessité d'aller creuser nos peurs, nos fantasmes, nos errances. Cette mission de vie est éreintante, mais obligatoire pour qui souhaite devenir réellement Druide ou Druidesse.
Aucun répit, aucune fausse concession ne nous sont autorisés. Le postulant aura sans doute envie d'échafauder des contes et des histoires, pour justifier l'injustifiable, mais les actes de sa vie le rattraperons, les Dieux lui remettrons la vérité en face.
On peut penser que cette loi de l'expérience de l'incarnation est impitoyable, et en vouloir aux Dieux être en colère contre eux. Mais en réalité, c'est une très bonne chose, ça nous remet sur le chemin de nos vies, les Dieux et le Destin nous éduquent avec dureté et amour parfois.
Mais le Druide véritable y arrive avec maturité spirituel, et persévérance.
Pour celui qui accepte de voir son quotidien comme une leçon de vie, le Monde deviendra lumineux. Pour celui qui veut guérir en traversant l'ignorance, la guérison lui sera donnée.
Il est ainsi demandé à chaque apprenti « Druide » d'être capable d'observer sa vie et d'en tiré les leçons utiles pour avancer. Alors sans se juger, car juger c'est condamner alors que simplement observer c'est être lucide.
Ce qui est merveilleux dans le Monde de l'incarnation c'est que nous sommes toujours remis à notre juste place, peu importe le temps.
Nous pouvons entrer dans un ego surdimensionné, il y aura toujours un événement ou un humain qui sera là pour nous le mettre dans la face. (ce qui ne va pas, ou ce qui n'a pas été régler chez nous).
On ne peut échapper à l'enseignement du premier Cercle. Il nous est demandé pour cela, tout simplement de dire « oui » à la vie et d'aimer cette dernière.
Le premier travail est sans doute de renouer avec la force vitale qui, pour beaucoup d'humain, a été anesthésiée, ayant été confrontés à des écueils rencontrés dans notre enfance ou adolescence. La trahisons, les abandons ou autres choses qui nous ont marqués au fer rouge.
L'objectif prioritaire est dons de retrouver sa force Originelles afin de sortir victorieux des épreuves.
L'incarnation épanouie est une marche obligatoire vers l'ascension spirituelle.
La vie sur terre doit être intégrée et acceptée par l'âme.
Dans le cas contraire, elle serait éclatée, schizophrène et ne saurait où habiter et que faire.
D'ou l'importance d'être pleinement incarné et ancré dans la pratique du Druidisme.
Pour accéder a cette compréhension et vivre cette expérience, il nous faut dissoudre les blocages qui entravent nos créativités et l'affirmation de soi. Cette libération nous permettra de ne plus être prisonnier des illusions qui motivent les fuites vers les fantasmes. Cela nous permettra d'être pleinement sur terre au bon endroit, au bon moment, avec les bonne personnes.
L'expérience du premier cercle d'Abred nous incite à retrouver notre véritable nature en nous reconnectant avec la beauté de la création, on doit travailler avec les forces de la terre mère.
Retrouver notre nature avec et par la Nature.
Il est donc important d'observer nos peurs et de remonter à leur source pour ensuite les dissoudre.
Il est nécessaire de purifier son vécu pour avoir un avenir et ne pas rester en état de blocage. Pour ne pas être des « apprentis éternels ». Il faut finir sont apprentissage pour être Druide.
Chez les Anciens Celtes, l'enseignement et l'expérimentation du premier cercle durait 20 ans. A notre époque moderne avec la vie que est accélérée les expérience spirituelles d'Abred le sont aussi. Certain apprentis arrivent en quelque années seulement de travail, liberer des tensions et des liens qui semblaient pourtant insurmontables.
Keugant :
Le monde invisible et spirituel, les mondes des Dieux et des Esprits, associer au cœur, la couleur de keugant c'est le vert.
Dans le premier Cercle d'élévation, on a pour comprendre la sagesse de la vie, considérer qu'Abred était la seule réalité qui soit. Mais d'autres réalité existe est sont elles aussi réelles et réellement utiles. Il est temps pour le cheminant et le postulant Druide de pénétrer dans le Monde invisible, afin d'obtenir un plus grande sagesse et une profonde compréhension de lui même, des Dieux, du principe de l'existence et de tout ce qui existe et du pourquoi la vie doit être vécus...
A ce stade on entre dans le vif du sujet j'ai envie de dire. Pour qui désire être Druide, c'est au moment de sont voyage en Keugant par la migration de son âme (le Voyage Astral) que les choses évolues positivement se qui confirme sa place de Druide aux sein des Dieux, ou au contraire que les choses se complique (par l'échec de ses épreuves) ou pire « qu'il ne se passe rien du tout puisse que la personne n'a pas les dons ni le potentiel pour être Druide, sur un plan spirituel », se qui infirmera le parcours, mais ni mettre pas fin pour autant, puisse qu'une personne dans ce cas la peut toujours oeuvrer dans le Druidisme, mais en faisant autre chose.
Le truc c'est que le contact avec les divinités demande de pouvoir vraiment atteindre le plan spirituel. Le vrais Druide choisi par les Dieux est un homme simple du peuple , un paysan qui a une sensibilité spirituelle au monde des esprits et des divinités.
Le Monde visible (ou matériel), même si on vous a dit qu'il était la seule réalité qui soit, n'était en fait qu'une pure illusion (la plupart du temps). Pas une illusion au sens stricte du terme, mais dans notre monde superficiel les gens cherchent toujours a tricher pour arriver a leur fin ou a vous mentir, les gens se mentent a eux même aussi le plus souvent, seule la vérité du deuxième Cercle Keugant du Monde invisible est authentique car ce qu'ont y découvre sur nous, on ne peut le feindre, et on y guérie de nos blessures pas l'affrontement des actes difficiles lier au passer le plus souvent...
Mais pour des esprits trop « rigides» et « fermés » ce monde peut être un piège bien plus terrible que le Monde Matériel. Comme son nom l'indique, il n'y a plus aucun repère tangible.
Les cartésiens repoussent ce Monde, qui pour eux n'existe pas.
Les matérialises ont tracé une frontière infranchissable qui les empêche de prendre en considération cette réalité.
Ils sont comme ces théologiens du Moyen-ages qui avaient décrété que la terre était plate et que l'univers tournait autour de cette dernière.
Aujourd'hui il y a des gens qui pensent comme ces gens là, bien que scientifique. Ils ne peuvent tout expliquer, tout savoir. Tout les ans ou toutes les décennies les vérités qu'ils affirmaient sont démenties par de nouvelles trouvailles. Il faut être prudent dans nos déclarations au sujet de ce qui et vrais ou faux. Les choses sont pas toujours comme la plupart des gens le pensent.
Bon dans le cas des gens rigides et matérialistes, rien ne les arrête, tant leur colère est grande à l'égard du Monde spirituel, qu'ils ironisent et dénoncent tout ce qui ne correspond pas à leurs vérités. Comme ces Druides « Matérialistes » qui ce comportent en inquisiteurs. Des gens qui affirment la seule vérité émise par eux mêmes.
Le Monde (la terre) va ainsi, les vérités contemporaines ne sont que l'expression de la connaissance actuelle. Les vérités que le Druide va découvrir dans le cercle de Keugant sont toutes autres, ce sont des vérités occultées.
Le problème avec la rigidité des matérialistes au sujet des mondes spirituels c'est qu'ils s'enferment dedans et qu'au moment de leur mort ils vont être submerger par leurs peurs et leurs problèmes non résolues, leurs tourments intérieures vont leurs faire tellement de mal au moment de leur mort quand dans l'autre monde ils se prendrons pour du « rien » ou « du vide » puisse qu'ils auront crus toute leur vie qu'après la mort il n'y a rien et que l'on disparaît avec la perte de notre corps «physique ». Mais même les gens qui n'ont aucuns dons ou facultés spirituelles on un corps «esprit» (corps astral) et les forces de ce corps peuvent ce retourner contre eux après cette mort. De faite pour devenir du « rien ». L'esprit trop rigide et matérialiste nous « tue » une seconde fois après la mort, si il n'est pas géré ou maîtriser dans la vie, si la spiritualité est inexistante.
Au sujet de la vérité, ce qu'il faut savoir c'est que personne sur terre ne peut la détenir « totalement » mais toutefois on peut en expérimenter une partie, une parcelle de cette « vérité mystique » pour être assimiler, y compris pour les plus acharnés des matérialistes.
Il faut donc ne pas faire comme eux, il est nécessaire de les écouter et de percevoir toutefois les parcellles d'enseignement dont ils témoignent, à leur corps défendant.
Les Sages nous incitent à pénétrer les Mondes invisibles, ceux qui contiennent les mêmes difficultés que les Mondes visibles. Une vérité bien connue affirme que le monde d'en haut est comme le monde d'en bas. « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».
C'est la que commence les épreuves, ou les expériences qui si elles sont comprises et assimilés vont faire de la personne un Druide, plus qu'un apprentis « éternels » un vrais médiateurs, guérisseurs, poètes-chaman (Filidh ou Thulr), voyant (Faith) messager et intermédiaire entre les hommes et les Divinités ou les Ancêtres.
Le Monde invisible est piègé et peut être parfois bien plus dangereux que le Monde visible, voici la parole du Druide initier par les Dieux. Car quand on voyage dans ces autres réalités, plus personne ne peut vous faire revenir à des Sagesse plus centrées, c'est a nous de trouver l'équilibre entre notre vie dans le monde visible chez les Hommes et celle dans le monde invisible chez les Dieux.
Les Postulants Druides peuvent aisément s'égarer sur les chemins des illusions. Ou perdre face aux épreuves imposer par leur destin.
Mais nos Divinités guides quand on arrive a surmonter les épreuves et a assimilé les choses que l'on vis dans le bonne ordre, nous remettent a notre place avec tacte et bon sens si nous sommes dans un ego spirituel trop transgressif. Bon dans le Monde invisible il nous faut quand même avoir de l'ego mais mesurer, parce que c'est l'ego qui nous permet d'exister, d'être et de faire, c'est l'expression de la confiance en nos capacités. Mais la l'ego dons je parle et en équilibre avec l'humilité nécessaire au développement d'une spiritualité forte et juste.
De plus il faut savoir que dans le Monde invisible vous êtes souvent ballottés par des vérités plus ou moins hautes, on doit trouver en nous même l'équilibre pour retrouver l'ordre et le raisonnable. Et seulement alors on peut intégrer les choses que l'on vis et les informations que les Dieux partagent avec nous. Avoir a l'esprit que nous sommes des être sensibles et que les vérités du Monde invisible dans nos visites chez les Dieux passent à travers nous mais que nous les intégrons que très partiellement du fait de nos limites « humaines ».
Apprendre, découvrir et mettre en résonance ce que l'on a appris chez les Dieux. Ce qu'ils ont voulus partager avec nous, et en échange de notre côté on les soutiens et on les aime.
Avec leur aide on met en place des protections qu'ils nous transmettent. Les Divinités guides nous aide mais aussi nous accompagnent dans les différents niveaux que l'on atteint avec eux dans la pratique des voyages astraux.
Si on n'a pas atteint les bons niveaux de savoir faire et de connaissance avec eux ou alors si on n'a pas réussi a dépassé notre ancienne condition, ou pas surmonter nos épreuves, alors on prend le risque au bout de quelque mois ou années de pratiques de devenir atteints physiquement, psychologiquement et énergétiquement.
Les gens qui préfèrent fuir plutôt que d'affronter leur « mal » (les épreuves lier a leur vécus, et a leurs blocages), chercherons des excuses pour fuir, pour ne pas faire ce qui devrait être fait et entrepris (parce que c'est trop dur pour eux) prendrons le risque de ne plus faire la différence entre le bien et le mal. Ils ne ferrons plus la différence entre ce qui maintient l'équilibre et ce qui crée des déséquilibres. On ce doit de bien comprendre ce que nous dissent et nous montre les Dieux, si on veux dissoudre ce qui crée de la souffrance et des déséquilibres dans nos vies. Faute de connaître son mal on en ajoute un nouveau... Et encore un autre et un autre et un autre... C'est une chaîne sans début ni fin...
Ne pas oublier aussi qu'on vis dans une drôle d'époque ou il y a des gens qui ne se lient avec autrui qu'afin de pouvoir lui faire impunément tout le mal possible.
Le Druide si il souhait avoir un rôle pour les Dieux doit ce montrer lucide sur les notions de bien et de mal. Car c'est la base de la vie.
Pour ses voyages dans les mondes Spirituels, il doit pouvoir se protéger et demander de l'aide a ses alliers. (les Dieux auxiliaires et protecteurs).
Sans de solide protections et de solides enseignements de la part des Dieux et des Esprits, doublé a une étude de la traditions des savoir anciens celtiques et des autres culture par l'étude dans le monde tangible (abred). Donc une étude a la fois extatique chez les Dieux et didactique chez les hommes, on ne pourra pas atteindre le niveaux de compétence qu'il nous faut.
La première des protections et bien entendu de ne jamais voyager dans les Mondes invisibles sans invoquer et honorer nos guides, ou faire un rituel de protection. Ce que je fais aussi quand je fais une V.A (Voyage Astral) hors rituel, c'est d'aller voir une de mes Divinités protectrices et de faire le travail dons j'ai besoin ou de parler a la divinité dons j'ai besoin accompagner de Dieux (une escorte). Et en Astral je suis aussi assez fort pour me défendre seul, mais c'est une sécurité logique, ne pas aller seul dans un térritoire du monde d'en bas, c'est juste du bon sens, c'est comme si dans le Monde visible on devait aller dans un lieux malfamé, c'est mieux d'être accompagné.
Ne pas oublier que le Druide reconnu par les Dieux et les Esprits du Monde invisible est aux niveaux de ses pratiques dans ses rituels dans le Monde visible d'Abred le réceptacle de ses Divinités protectrices et guides, qui au niveaux énergétique oeuvrent à travers lui.
Cette équilibre dans le Monde visible d'abred passe par une fonction de protection des personnes ou des lieux qui semblent envahie, submergé par les énergies lourdes.
Le Druide comme le Chaman dans une autre tradition, doit pouvoir absorber les énergies lourdes en questions et les dissoudre, soit de l'extérieur, soit en pénétrant par la puissance psychique à l'intérieur du corps physique de son patient. Cette méthode Ancestral ne peut s'appliquer qu'après de nombreuses pratiques guides par les Divinités auxiliaires et enseignantes, et après une longue période d'étude et d'apprentissage, du savoir traditionnel et de l'interaction avec les forces du Monde Invisible.
Un autre danger peut venir au cours de cette apprentissage, celui de l'ego (encore une fois). La personne ce qui pratique peut ce rendre compte de l'étendu de sont pouvoir et au lieu d'en avoir peur, car la peur de mal faire ou de mal agir pousse a l'humilité et au respect des forces qui nous dépassent. L'ego peut devenir trop envahissant, bien que comme je vous en ai parler on doit avoir de l'ego dans la pratique, mais limité, c'est a dire que l'ego doit juste nous apporter ce qu'il nous faut de confiance en nous pour pratiquer, ne pas en être submergé. L'équilibre voilà la cléf.
Parce qu'une personne dominé par son ego peut être détruit par lui et tout ce qui fait le Druide aussi. Du coup on ce trouve avec des Charlatans... Oui des farfelus qui fond n'importe quoi et qui peuvent être destructeurs pour les personnes en souffrances qui les consultent. Et ils sont destructeurs pour eux même aussi...
La chose la plus importante a savoir pour le Druide, c'est que pour pratiquer correctement et être utile a lui même, au gens qui l'entour et aux Dieux, il doit avant tout apprendre a passer par la porte de son cœur. Le cœur est l'Arc de triomphe royal qui permet d'accéder aux Mondes des Dieux, sans se faire dévorer par les entités négatives qui y résident parfois.
Ces quelque indications permettrons aux futurs Druides d'entrer avec justesse dans les Mondes des Dieux et en contacte avec les forces subtils dans la Nature en Abred.
Il en est de même pour le Faith, appeler Devin dans les campagnes ou Ovates dans les Ordres Druidiques, dans la pratique divinatoire Celtique il doit aussi suivre un long apprentissage.
Une chose importante a savoir c'est qu'au final on na jamais rien sans rien en contrepartie.
Les élèves rencontrent toujours les difficultés et les pièges de leur inconscient. L'ego invisible en mal de reconnaissance peut interférer à tout instant pour brouillé la puretée ou plutôt l'équilibre intérieur du Druide.
Si ce n'est pas déjà le cas par l'appartenance de ce dernier a une groupe Druidique sectaire.
Il nous faut toujours savoir que les Dieux nous testent pour connaître notre valeur et pour savoir qui nous sommes, ce que nous avons a leur apporter, oui le fait de rendre un culte a un Dieu sans jamais avoir de lien avec lui ne vous donne pas des droits sur lui, ni n'assure votre place après la mort a ses côté, a Tir-Na-nOg ou a Asgard.
Mettez vous deux minutes a leur place ? Si une personne au cœur mauvais vous fait un cadeau, et que vous savez que cette personne est malsaine.
L'inviteriez vous chez vous ??? Surtout que l'éternité après la Mort bien c'est long. …
Ils sont comme nous ils n'accordent leur confiance qu'a ceux qui la méritent. Parce que a tors ou a raison les Anciens Dieux sont différents du Dieu Unique de ce côté là. il me semble au regarde de mon vécus avec eux que le culte ou la participation a un culte ne rende pas les choses toujours automatique en ce qui concerne les choix porter sur les individus.
Les Mondes invisibles sont minés d'une multitude de pièges et nécessitent une grande expérience liée à la pratique et à l'expérience. Les Divinités guides nous testeront en permanence et c'est a l'homme, initier par eux, élus par eux de trouver dans son cœur et son âmes assez de force pour surmonter tout ça et éviter de chuter trop gravement dans les crevasses de l'ignorance et de l'orgeil spirituel.
Une fois les Mondes visible et Invisibles compris et assimiler par l'initier des Dieux et une longue expérience dans ces Mondes, l'initié peut enfin aspirer à entrer dans le sacerdoce Druidique, le troisième Cercle de l'élévation Druidique le Monde blanc, appeler en celtique, Fionn ou Gwenved.
Le Druide obtiendra et conservera durablement son lien sacré avec le Clan, les Ancêtres et les esprits de l'autre Monde.
Le Druide a un rôle d'équilibrant par le biais de ses rituels, des cultes qu'il offre a ses Dieux et Déesses, par l'observations des pouvoirs sacrés du Mondes de la Nature avec lesquels il s'accorde et ses actions dans les Mondes d'Abred et de Keugant (visible et invisible).
La grande sagesse de Keugant c'est que grâce aux travaux effectuer dans ce Cercle, ce que nous avons été, nous le sommes "toujours" et nous devenons ce que nous serons. Le Druide ce doit de comprendre que le passé n'est pas un fardeau, c'est simplement l'échafaudage qui nous a amenés jusqu'a aujourd'hui.
Nous sommes libres d'être ce que nous sommes, de créer notre propre vie a partir de notre passé et de notre présent. La guérison nous apporte la lucidité nécessaire pour être Druide.
Ne pas oublier que le "Vrais Druidisme" ce n'est pas la connaissance apprise par coeur des Mythes Celtes ou des Langues Celtes (c'est une petite partie ça).
Le Druidisme en réalité c'est la connaissance des forces dans l'univers.
La spiritualité des Druides n’est pas une abstraction, et elle permet si on l’approfondit de retrouver la mémoire des choses, pour la bonne raison que l’âme existe réellement. L’âme des Druides existe donc toujours dans le présent qui constitue le monde interne de l’univers.
Le seul moyen d’avancer objectivement dans cette profondeur est de voyager en soi même jusqu’à retrouver une certaine fusion avec notre âme intemporelle ou Esprit en soi. Cet Esprit est éternel, intemporel, et en contact avec l’Esprit de tout.
C’est le sens de la maxime platonicienne « apprendre c’est se souvenir ». Selon certains auteurs antiques, Pythagore serait venu étudié le Druidisme en Gaule. Néanmoins, le véritable druidisme est plus ancien et il faut remonter au néolithique pour retrouver la véritable conscience de la nature, Animiste/Chamanique qui est la source de toutes les traditions Spirituelles Authentiques.
Gwenved :
Le Monde Blanc, le monde de la conscience, associer aux couleurs du Blanc et de l'Or.
C'est le niveau sacerdotal du Druide « véritable » celui qui a fait tout le travail sur lui et avec les Dieux en Abred puis en Keugant, avant d'en arriver là, c'est un état de conscience éveillé.
Cet état de Gwenved ne peut être réellement atteint que par des pratiques spirituelles qui mènent à un état où on se sent tout lumineux et capable de soulever le monde. Gwenved c'est aussi le chemin de la Sagesse, la sagesse en fait ce sont des données qui fournissent des réponses aux questions fondamentales. Mais pas n'importe qu'elles réponses. Et pas a n'importe qui. Il est un vérité que beaucoup de gens ignorent c'est que le matériel a outrance est contreproductif, en vérité les Dieux n'accordent leurs faveurs qu'aux gens qui on souffert dans leur vie. Qu'aux gens qui on été mit a l'épreuve par cette vie dure en question... Ou du moins il semblerais que la souffrances ou certaine choses vécus ouvrent plus facilement certaines portes. On parle parfois de « maladie(s) initiatique(s)» dans ce genre de cas.
Comme je l'ai déjà dit dans un de mes sujets Le truc a toujours avoir quand même en tête dans le Druidisme c'est que dans les pratiques des V.A ou des EMC (états modifié de conscience) et du Druidisme en Solitaire avec l'initiation fait par nos Dieux et toute les activités qu'on a pas la suite avec eux,
Et bien on est quand même un peut séparés du reste de la communauté Druidique par l'intensité de nos propres expériences religieuses qui les dépassent totalement. En fait la plupart des Druides ignorent ce qu'avec du travail sur soit on peut faire. Mais d'autre chemins et pratique nous conduisent aussi sur le chemin du Druide forte heureusement.
Le plus important c'est être capable de ne pas faire souffrir les gens autours de soit. Voila ce qui devrait être la priorité dans le Druidisme.
Les réponses obtenue par le Druide dans son travail en traversant les cercles de Abred, de Keugant et de Gwenved lui permette d'accéder peu à peu à la sérénité. La validité d'une réponse spirituelle est fonction directe des progrès et des perfectionnements qu'elle permet. Parfois aussi on a des information de la part des Dieux ou d'autres Esprits comme les Valkyries ou les Esprits de la Natures et qu'on peut ensuite aller vérifier dans certains Mythes ou récits Historiques, mais ce n'est pas le plus important. Au final toute sagesse ce doit d'être pratique, et rendu vivante par l'éxpérience, sinon ce n'est que de l'information ou au pire un vain bavardage inepte.
C'est triste comme constat. c'est vrais que les Druides sont le plus souvent motivés par une "quête" uniquement de reconnaissance, quand ils devraient être a la recherche de sagesse et de paix.
En réalité une quête de Sagesse est la recherche de réponses efficaces auprès d'ainés et de guide spirituels. (Humain « éventuellement pour les aînés » ou non humain = « des Dieux ou des Guides»).
La Sagesse des Guides spirituels et des aînés est comme un arbre précieux qui donne des fruits de valeurs. Le plus important avec la Sagesse Druidique c'est de travailler avec pour la comprendre, de la mettre en pratique dans nos vies et dans notre pratique du Druidisme et ensuite un jour l'heure venue, pouvoir la transmettre.
La Sagesse nous invite a faire la plein expérience du savoir, car on quitte le monde des simple croyance en quelque chose ou en un Dieu. Par exemple dans le cas d'Odin, de Thor ou de Kernunnos, je leur ai parler, je sais donc qu'ils existent, ce n'est plus de la simple croyance, j'en avais parler sur le web anglophone avec une Volvä sur internet. Quand nos pratiques Nordiques dépassent le Simple « Asatrù » (croyance en les Ases). Quand tu entretient une relation avec Thor par exemple que tu va le retrouver en Astral tout les jours et que tu lui parle, que tu est proche de lui comme si il s'agissait d'un voisin, d'un ami ou de la famille, c'est plus fort qu'une simple croyance. Le voir c'est croire des Matérialiste ne s'applique plus du toute au bout d'un certain stade de pratique.

Il nous est donc nécessaire d'expérimenter uniquement nos pratiques et expériences religieuses avec les Dieux et les forces de cette Nature si chère au Druide que nous sommes devenus.
Ne pas projeter d'exellence sur aucun des deux Mondes que nous avons traverser avant d'arriver au stade de Gwenved. Le monde visible et aussi important que le monde invisible. Chaque personnes que vous avez rencontrer dans votre vie a de l'importance, que ce soit l'oppresseur tyrannique que avec lequel vous vous êtes prit la tête, les gens cruels affronter on toujours une enseignement a nous délivrer. (du moins sur eux, sur nous même et sur la nature du mal et du bien).
Voir les choses ainsi va vous aider a en comprendre plus que ceux qui sont toujours bloquer au niveaux d'Abred (les Druides Muggles).

L'enseignement des deux Cercles d'Abred et de Keugant nous appelle à vivre chaque expérience avec détachement, à être plus que nous même, a faire partie du tout, (apprendre a être une des feuilles d'Yggdrasill).
Nous devons vivre ces expérience avec détachement, et être dans la contemplation de ce qui est, que ce soit dans le Monde visible avec les hommes ou dans le Monde invisible avec les Dieux, les Esprits et les Ancêtres. Comprendre qu'Abred et Keugant ne sont finalement que les deux face d'une même chose « l'existence ».
Cette merveilleuse Sagesse nous incite à explorer les Mondes connus en y avançant avec respect et sans se perdre a chaque réalité traversée.
Le temps nous apporte l'expérience dans la pratique et le rayonnement de la lumière blanche du Gwenved...
Le Druide véritable marche entre les mondes, il médite et entre dans des états éléver de conscience que peut de gens connaissent, il est dans une extase où il fusionne avec chaque Monde vibratoire physique ou subtil. Cet êtat est une expérience extatique unique cas sans aucune vision mentale, sans aucune illusion, mais plutôt en un état de fusion avec le Monde de Gwenved.
Cet état est appelé en Inde « être dans le Soi ».
Gwenved est finalement je le rappel encore une fois le niveau spirituel du sacerdoce Druidique dans lequel devraint ce trouver chaque Druides.
Voici quelque conseils pour y parvenir :
Pourvoir trouver l'harmonie avec soi-même :
« Connais-toi toi même , et deviens ce que tu es ! »dit le Sage.
L’homme, sous l’influence du milieu qu’il fréquente, peut-être amené à engoncer son tempérament dans une apparence qui lui sied mal; il ne se sent pas à l'aise dans sa peau et ne peut vivre heureux : il risque alors des difficultés psychologiques, lesquelles finiront elles-mêmes par susciter la maladie.
Si l’être humain ne peut s’harmoniser, se mettre en conformité avec la réalité profonde de ce qui l’entoure, notamment avec la Nature, il déclinera rapidement.
C’est pourquoi le Druide doit être lui-même, en toutes circonstances, réellement détendu et à l’écoute de la vie, pour profiter pleinement de la force que lui propose Nature. Aussi est-il recommandé de se dépouiller de tout ce qui n’est pas vraiment le fonds naturel, de retrouver le tempérament réel et de ne plus agir qu'en fonction de ce dernier : le Bonheur et le Santé sont enfants de l’Équilibre mental, l’Équilibre mental est enfant de l’Harmonie avec soi-même, l’Harmonie avec soi-même est enfant de la Connaissance de soi. Dans un premier stade, cette Connaissance de soi désaliène l’adepte psychologiquement.
La libération profonde qui en résulte l’amène ensuite dans un second stade à rejeter progressivement tous les asservissements, lui apporte force et indépendance.
Les sacerdoces des Druides, constituaient un ordre mystique, et étaient formés pendant vingt ans à la mémorisation, l'art oratoire, la législation, la métaphysique, la liturgie, la magie; la méditation, la médecine, et toutes les sciences.
La spiritualité de ces Celtes était profonde et leur religiosité fervente.. Encore très proches du fonds commun, leur mentalité et leurs croyances se trouvaient ainsi très semblables à celles des autres ethnies aryennes, au védisme notamment. C'est pourquoi il a parfois été dit que le monde aryen avait deux sentinelles, placées l'une à l'est : « le Védisme » et l'autre à l'ouest : « le Druidisme ».
Le Druide refuse de favoriser l’esprit en délaissant ou en brimant le corps ; il repoussera également toute domination du corps aux dépens de l’esprit. Dans la traversée des vastes étendues, le cheval fait bénéficier le cavalier de sa vigueur véloce, mais celui-ci en échange ménage, protège, nourrit et guide sa monture. Et cette monture qu’est le corps, et ce cavalier qu’est l’esprit, doivent être entraînés au même degré : ni macération pour le corps, ni humilité pour l'esprit, mais austère discipline et solidarité absolue régissant l’ensemble. L’inconfort est en effet une nécessité; il durcit et purifie corps et caractère : il fait l’Homme. Le confort amollit : il fait le vaincu, le malade potentiel.
Le confort n’est pas ce que donne la nature : la fourrure de l’ours, les bras de l’homme. Le confort, avilissant, est le nid et l’œuf de la paresse; le confort, c’est d’abord tout ce qui est artificiel. Et l’artificiel, c’est tout ce qui dans l’industrie humaine dépasse les mesures, les possibilités naturelles de l’individu : ce qui ne peut être que tyrannique puisqu’il veut subjuguer (la publicité) et tend à soumettre l’homme au bon vouloir des pourvoyeurs de ce débilitant confort : trusts industriels et pouvoir d’argent.
Celui qui ne peut plus « se passer » de quelque chose en est esclave : l'alcoolique, le tabagique, le «caféïque », l'érotomane, celui qui « chérit son confort », ne sont que des diminués, des asservis aux objets de leur plaisir, des faibles dont l'esprit est subjugué par l'animalité du corps. Le cavalier doit être en mesure de maîtriser sa monture pour parvenir au but de son voyage : sinon ils finiront tous deux dans fondrière ou précipice.
Le Druide dans la Nature :
L’étude de la Nature fait connaître l’ordre naturel à l’adepte du Druidisme ; elle lui procure valeurs et solides critères esthétiques : ceci aussi bien dans le domaine de la beauté physiques que dans le domaine de la beauté spirituelle. Elle lui évite de choir dans le mauvais goût, de perdre le sens de l’honneur et d’accorder la moindre indulgence aux pratiques contre nature : Elle lui donne, en outre, le pouvoir de mieux comprendre le Cosmos et de ne pas s’abandonner aux croyances ou autres manifestations sectaires mystico-névrotiques.
Conséquence pratique :
L'idéal de l’adepte du Druidisme est de vivre dans les clairières, au milieu des troupeaux, très rustiquement, au sein d’une Nature (source primordiale de sapience) dont il percevra les pulsations secrètes.
L’idée fondamentale de la spiritualité Celtique est que l’énergie capitale et la sensibilité sont à la source de la vie.
L’être humain n’est qu’une poussière dans l’univers : il y est insignifiant, donc vulnérable, mais ce doit de retrouver sa part divine pour avancer et ne pas ce laisser submerger par la matière et le mal qui résulte de sa vie en celle ci. (voir ses vies, pour les vies antérieurs parfois difficiles).
Le Maître But, l’objectif essentiel de la Sagesse Celtique est -on l’a compris.
C'est alors l’Harmonie dans l’Agir. Donc le besoin intense de participer au cosmos entier, d’être en équilibre en toutes choses.

Et surtout ne pas oublier sur votre chemin que pour qu'une belle chose comme le druidisme fonctionne correctement il faudra la tenir éloigné des sources de pouvoir, ou de la politique.
(un peut "d'humour")





Un Culte a la Source de St Vizias

Un Culte a la Source de St Vizias;

Je suis aller faire un rituel Druidique a la source St Vizias dans la forêt en contrebat de la colline de la chapelle ou j'ai reçut le dernier rituel initiatique, celui de la charge de mon sacerdoce, ce lieu mémorable a deux pas de chez moi a toujours quelque chose de particulier ici dans les terres des monts d'arrée. Je me rappel toujours avec nostalgie chaque rituels que j'ai fait seul ou en groupe.
Je suis plus souvent seul sur mon chemin d'ermite. Et c'est heureux. 
J'ai donc commencer a rendre des cultes aux sources et aux fontaines pas loin de chez moi dans mes terres de Bretagne. Ici celle de St Vizias en pleine forêt. 
J'ai ritualiser avec la trame des rituels de mon ordre druidique ADF (A Druid Fellowship) a savoir les trois Kindreds et les triples Hallows (les parentés et les reliques des Druides). 
J'ai rendu un culte aux Landvaettir et aux Huldufólk, aux ancêtres, et a mes trois principaux Guides Spirituels Odin, Freya et Thor. 





"Que le Marteau de Thor toujours forge nos destins!"








Les Pratiques de cueillette et de récolte des plantes par le druide.


Les Pratiques de cueillette et de récolte des plantes:
Il ne nous est pas possible de retrouver l'ensemble de toutes les pratiques des druides dits 'antiques' mais nombres de coutumes et de tradition ce sont transmisse chez les druides des traditions Gaéliques et Brittoniques notamment aux cours du moyen ages et toute cette sagesse c'est ensuite transmisse dans les campagnes quand le druidisme c'est fait discret survivant au travers de la sagesse populaire et du folklore. Des guérisseurs et des rebouteux.



La Récolte des plantes:
Le Druide a conscience du temps qui passe dans la nature, en ce reliant a elle, dans son quotidien, et dans sa spiritualité, dans la conscience du présent.
Pour nous aujourd'hui la cueillettes doit avant tout rester un moment de plaisir, un moment de détente et de ressourcement.
Je fait toujours mes séances de cueillettes en les considérant comme des rituels en soit. En tout cas de façon intimes avec la nature, la forêt, celle des songes et des contes de fées, celle de l'ancienne sagesse et des retours primaires, la forêts lieu saint ou tout ce qui vie, nous aide a reprendre pieds et a nous enraciner dans le moment présent, dans le passé et dans l'avenir.
Dans les séances de cueillettes druidiques munissez vous d'un couteau, ou d'une serpe, d'un sac et de bottes, d'une cape s'il y a du vent et de votre plus belle enthousiasme pour ce moment de communions avec la terre et les bois. N'oublions pas que dans ces moment la c'est aussi a chacun d'entre nous de déterminer ce qui lui semble juste pour lui même. Quels que soient l'heure de la récolte, le jour et bien sur la tenue du cueilleur, rien n'est plus important que l'amour, le respect et la gratitude.
Ce sont les aspects primordiaux de la philosophie druidique et ce qu'il faudrait en retenir.
Toujours la nature est belle et ce monde de verdure nous invite a le découvrir et a aller a sa rencontre. A nous d'y mettre toute notre coeur.

La cueillette des Druides autrefois:
Traditionnellement la récolte des plantes chez les druides était un rituel sacré. Les récits historiques de la cueillette du Gui chez les druides nous montrent bien à quel point nos valeurs et nos considérations ne ce sont pas autant éloignée de celles qu'en avaient les anciens.

La vision sacrée de la plante chez le druide:
Nous retrouvons ici la notion de sacré en lien avec la terre et certainement avec le mythe de la création. Mais n'oublions pas aussi la notion de sacrifice, en effet pour les druides la plante est un être vivant a part entière, habitée par une conscience et un esprit en lien avec le tout, en lien avec le cosmos et le marcocosme et le microcosme. La plante peut même pour nous être la résidence des divinités mineurs tels que les landvaettir (les esprits de la terre) que sont le petits peuples ou d'autre divinité comme le Green man (l'homme vert). En tout cas les plantes portent en elle, quelque chose qui les relies aux sacrés et ça en plus de leurs vertus médicinal de première importance.
Considérer la plante sous cette angle donne un toute autre sens a la cueillette et en fait donc un acte pas anodin,empreint de sacrée et donc un moment privilégié, qui de plus chez les Draoidh-Liaig (le Druide médecin) d'Irlande et d'Ecosse, ou chez les Uatis (Gaulois) ou les Ovates (Bretons) ces de cette cueillette sacrée dont dépendait la qualité des processus de guérison.
"-Les druides n'ont rien de plus sacré que le Gui et l'arbre qui le porte, pourvu que ce soit un chêne rouvre [...] On trouve très rarement du Gui (rouvre) et, quand on en a découvert, on le cueille en grande pompe religieuse. Ce doit être avant tout au sixième jour de la lune, qui marque chez eux le début des mois, des années et des siècles [...] Ils l'appellent dans leur langue "celui qui guérit tout". Ils préparent selon les rites au pied de l'arbre un sacrifice et un festin religieux[...]"
-Extrait de l'Histoire Naturelle, XVI, 95 de Pline l'Ancien.-



mercredi 20 mai 2020

Les fêtes Druidiques et l'influence astrologique


Les fêtes Druidiques et l'influence astrologique:
Dans le livre « Leaves of Yggdrasil » de la Gythia/Völva Freya Aswynn il y a une bonne source sur le rapprochement fait entre les lieux mythiques les runes et les signes du zodiaque gréco-romain traditionnel, Mes recherches commencent alors a partir de là. Dans son livre Freya Aswynn fait mention dans ses travaux que chaque période de l'année correspond a un lieu dans les 9 mondes d'Yggdrasill, les fameuses feuilles de l'arbre des mondes, et qui sont associés a un signe du zodiaque et a des runes.

Nous avons perdu énormément de connaissance au sujet des runes, puisse qu'a une période elles n'étaient semble t'il plus secrète.

«-L’utilisation des Runes à des fins profanes est une perte de substance indéniable, mais c’est justement cela qui a permis d’en retrouver la trace. Ainsi, le moment où l’on voit apparaître les runes ne correspond aucunement à leur naissance, mais seulement à la période où elles quittent le domaine du sacré pour une utilisation profane. »
-Le Druide Vindasebara- (revue Druvidia n° 3)

«-En outre, ils (les Druides) dissertaient abondamment des astres et de leurs mouvements, de l’immense étendue du monde et de la terre, de la nature des choses, de la puissance et du pouvoir des dieux immortels et ils transmettaient ces connaissances à la jeunesse. »
-Jules César- (La Guerre des Gaules, VI–XIV).


Les travaux de l'auteur Nigel Campbell Pennick qui a écrit de nombreux livre sur les runes et les pratiques et traditions Nordiques, vont aussi dans ce sens, mais nous devons aussi cité les travaux de Christian Mandon qui a écrit l'ouvrage “ Les origines de l’Arbre de Mai ”. En effet ils expliquent que les maîtres des runes ne faisaient pas appel au zodiaque gréco-romain. Ils vivaient au rythme des douze Halles célestes du panthéon nordique, Nigel Campbell Pennick démontre ça en s'appuyant sur le Grimnismál.

Dans ces mythes Odin fût capturé par le roi Geirrod qui, pour le torturer, le suspendit entre deux feux. Voyant cela, un enfant du nom d’Agnar fit boire à Odin une boisson qui lui donna la force de résister au supplice. Pour remercie le jeune garçon, Odin lui décrivit Asgard, la demeure céleste des dieux et ses douze palais magiques.
C’est a nous de travailler avec les runes, de les intégrer a notre vie quotidienne et de développer la façon dons les runes peuvent être employer pour marquer le passage sacré de ces moments important de l'année, par la méditation, les Stödhur ou les Galdar (les postures runique ou les noms des runes chanter) ainsi que l'usage de leur symbole est énergie en lien avec le sacré et les forces de la nature.
De mon côté mon travail a été de les attribuer a chacune de nos célébrations Druidiques pour que cela soit conforme a la tradition Celto-Nordique. Par rapport a l’Ecosse et aux Norse-Gaels.
«-Ce que fut le Druidisme originel, nous avons des difficultés à le savoir. D’abord, à cause de ce qu’on a appelé le tabou de l’écriture. Autrement dit le fait que les Druides, qui n’ignoraient pas l’écriture, ne lui confièrent pas leur enseignement. Ensuite, à cause des persécutions romaines telles que le décret pris sous le règne de Tibère, contre les Druides, et l’interdiction faite par l’empereur Auguste à tous ceux qui voulaient devenir citoyens romains de pratiquer les rites Druidiques et d’adopter la Philosophie de nos Pères. Enfin à cause des persécutions chrétiennes qui parachevèrent cette œuvre. À noter que les autres religions païennes subirent le même sort. »
-Barde Breudeur- (revue Message N°5, 1988).


«-Le “druidisme” irlandais fut schismatique dès la première heure ! Il est donc extrêmement risqué, par voie de conséquence, de se fier aux sagas irlandaises pour pénétrer le sens ou l’histoire du druidisme continental, comme le firent tant de celtisants après H. d’Arbois de Jubainville. »
-A. Savoret- (Visage du druidisme, p.29).
Le Druide avait pour objectif de faire vivre en lui cette source qu'est l'Awen nous l'avons toujours, mais il devait aussi pour les gens de sa tribu ou du clan auquel il appartenait faire sont maximum pour gérer les ressources et calculer le temps pour les actes agricoles, tel les semailles, les battages ou les moisons, les moments propices aux activités du clan, tel que la pêche ou la guerre. Lire le ciel était une chose impérative dans un monde ou tout est cyclique ou les étoiles apparaissent et disparaissent au grès des saisons. Et ces ceux savoir qui nous intéresse ici.
Ensuite le Druide avait plusieurs cordes a sa harpe si je puis m'exprimer ainsi.
En Ecosse les Draoidh regroupaintt les poètes, conteurs, historiens, satiristes et musiciens.
C’était les Filidh (« voyants ») des Bardes Gaéliques ou les Skaldes qui travaillaient sur le son avec leur voix et des instrument a percussion ou a cordes. Les Skaldes étaient réputer pour l'usage qu'ils faisaient des Runes, l'importance qu'elles avaient notamment dans la transcription écrite des vocalise sacrés que sont les Galdar, comme sur certaine pierre en Scandinavie ou en Ecosse sur les îles de l'Ouest/ Il y avait quelque chose de hautement magique et sacré a écrire, l'incantation en rune, et écrire c'est figé, faire demeuré l'incantation pour toujours au même endroit.
Ces instrument et leur voix formaient le centre de leur pratiques, la musiques et le chant gutturale qu'ils entonnaient, appeler Bardit ou Galdar leur permettaient d'entré dans des états de transe légère ou plus profonde, devenant ainsi plus réceptif a leur environnement ou recevant des messages de l'autre monde. Message qu'ils allaient parfois chercher eux même par le voyage de l'esprit ou Astral (Voir la partie sur les EMC page '…').
C'est en ça que la musique était considérée comme quelque chose de magique, elle servait de pont entre le monde des hommes et celui des Dieux ou l'autre monde.
Les Filidh étaient les dépositaires du souffle créateur accorder par nos dieux. Ils développaient leur discernement en accord avec les cycles de la nature et développaient leur réalisme au sein de leur pratique druidique et de leur vie dans le monde plus « tangible » selon la devise “faire face”.
On retrouve donc des équivalents a nos Filidh Gaélique et a nos Skaldes Nordique en grec Poeïen, d’où « poète » (gardiens de la mémoire) les Aèdes Grecs qui chantaient des poésies épiques et sacrées. Conteurs, ils diffusaient les Mythes et la Généalogie.
Ils étaient musiciens, jouaient de la harpe, ce qui leur apprenait à maîtriser les rapports mélodiques, les liens ou accords justes, la tension, l’harmonie, le rythme.
Ils furent les ancêtres des Troubadours/ “Trouveurs” et des Minnesänger “chanteurs de la Mémoire”.
A noté qu'on retrouve plusieurs étymologie aussi pour le mot « Barde » : qu'on peut à rapprocher du personnage de la mythologie nordique Bàrdr qui “signa” la corne d’Égill… La racine celto-germanique Bard “barbe” subsiste dans le nom des Lombards, les Langobardi, “les gens à la longue barbe”

Mais la saga de Bárdr, Traduit du vieil islandais par Régis Boyer. Nous dépeint un personnage très proche de ce qu'était un Barde. Bárdr, et le fils de géants des glaces du Nord, Il aide des membres de sa famille et des amis a surmonter les épreuves qu'ils traversent et part s’installer avec eux en Islande. Pour pouvoir s'installer dans cette nouvelle terre avec son Clan il doit partir dans l'autre monde (concrétiser par une caverne dans le récit). Il affronte, dans ce monde de cavernes profondes, de neige et de givre, les monstres, trolls, nains, géants et les elfes qui y résident, avant d’élire domicile dans le glacier du Snæfell et de devenir une sorte de divinité protectrice pour la terre et son peuple.
Dans ce récit le personnage de Bárdr, et hautement divinisé, les Druides ne sont pas des Dieux, mais nous travaillons a la reconquête d'une partie de nous même qui est caché dans la terre, chez les dieux et au plus profond de nous. Nous aidons notre communauté, notre famille et nos amis et tissons des liens forts et durable avec notre terre et les esprits qui y résident et les dieux qui administrent les forces qui nous entourent. C'est en cela que nous somme a l'image de Bárdr.
Cette histoire nous montre l'un des savoir perpétuer dans nos légendes et nos mythes que les Druides enseignaient. Soit que l’humain se présentait sous deux aspects :
-1° l’homme de la Fatalité, soumis au Devenir…
- 2° l’homme de la Providence , libéré de celui-ci. Par son libre arbitre, dépendant de son intelligence, dont il pouvait disposer à sa volonté, l’initié au savoir Druidique devait s’évader de son animalité instinctive pour s’élever par son savoir et ses vertus.
D'ailleur selon Jean Vertemont mythologue et spécialisé en histoire des religions
Parvenir à un type d’homme supérieur est un trait commun à toutes les religions indo-européennes.
« -Le rôle du Barde dans la société celtique est bien connu, et il existait sans nul doute des chamanes itinérants dans l’Europe du Nord jouant un rôle similaire. Ces bardes nordiques, initiés aux mystères d’Odin, n’étaient pas seulement des conteurs d’histoires et de légendes, mais aussi des maîtres enseignant les mystères, y compris l’Art runique. Le pouvoir de la poésie rituelle était très important (…) La personne connaissant les anciens chants et les poèmes était respectée dans la société médiévale. Elle était représentée par le bouffon.»
-J. P. Ronecker- (ABC des Runes, Grancher 1993).
Déjà attentifs au respect des lois communautaires, ils prononçaient des satires à l’encontre des fauteurs et cela provoquait la honte entraînant quelquefois la mort spontanée (disaient-ils) ,ou, en cas de révolte, le “jurement” déclenchant l’ordalie (épreuve du feu, de l’eau ou du duel). Les duels ou ordalies, s’étant perpétués, ils étaient toujours en rapport avec le parjure de l’un des duellistes car la pire faute chez les Celtes, les Gaulois, Gallo-Romain (Celtes du Sud) et les Gaéliques, Norses, Norse-Gaels (Celtes du Nord) était le parjure, la trahison, le personnage noir de la littérature était incontestablement le renégat.
Ensuite venait autrefois l’étude des runes puis, quand elles furent interdites par les Romains, puis par l’Église (catholique et romaine), l’étude de l’Écriture secrète ogham, celle de la grammaire, de la versification, de la composition et de la narration des récits, l’étude de la philosophie et celle des lois. Après sept années venait l’étude de la langue secrète des poètes (la “langue des oiseaux”) qui en faisait un Ollamh puis, après l’étude de la généalogie et des lois sous une forme poétique, venait le rang de juriste.
Les Ovates ou Draoidh Faith étaient chargés des sacrifices, ils étaient devins et sacrificateurs, leur rôles pouvait aussi être comparable au Filid (voir la partie sur les anciens Grades page '…').
L'origine des Runes :
Le mot Rune vient du scandinave raunen “murmurer, susurrer, proférer” ce que fait la “fontaine de sagesse” de Mimir dans laquelle plongent les trois racines de l’Yggdrasill. La légende dit que c'est Odin qui ce pendit a cette arbre et qui trouva les runes dans ses racines, il sacrifiât aussi un de ses yeux a la source de Mimir (la mémoire).
Mais le mot signifie aussi “délibération secrète et clés » l'usage est la divination mais aussi le chant qu'insufflent les runes aux bardes les Bardits ou Galdar qui vibrent en chantant les runes , comme des mentra les Galdar on de grand vertus pour l'éveille et l'ouverture de l'esprit a la sagesse plus profonde qu'elles contiennent.
Les Runes sont une originale et fondamentale voie d’éveil” ! En gothique runor qui signifie “faire des entailles”.
En islandais ryna. En finnois runo est une “poésie épique” et la même racine semble présente dans Raudna, Rauni qui personnifient Sif "la déesse aux cheveux d'or" (laquelle est la “femme” du Dieu Thor).
En néerlandais rejtn “déchirer”. Le letton runat , et le finlandais runo signifient de nos jour à la fois “parler” et “chant”. En suédois rita “dessiner” qui a donner ensuite en Anglais write.
En Suisse on trouve raun “accord secret, décision secrète”.
En latin runa est le javelot qui fait pensé a un trait ou a une flèche, mais aussi de rayons ou de “liaisons”. En grec ereunân signifie “sonder, rechercher, pénétrer”. et le mot grec thren signifie "passage magique de la parole à la musique".
En breton nous avons rin, kevrin qui ont le même sens que le vieil irlandais run “secret, mystère” ou le gallois rhin.
Le Breton Kevrin a donner dans notre langue bretonne le nom Kevren pour les groupes de musique bretonne de binious et bombardes. Ces parentés breton/ germain démontrent la communauté du vocabulaire religieux entre Germains et Celtes des époques anciennes.
En Anglais, il y a peu encore, on disait Rown (devenu) « Round… in the ear » pour “chuchoter… à l’oreille ” et, l’on pourra le rapprocher du mot roun “chant d’oiseau” qui vous fera penser à la “langue des oiseaux”
Toute cette étymologie dans des langues diverses nous montre d'une parte l'importance de l'usage des runes fait par les anciens, mais aussi quelque chose de l'ordre du caché qu'il ne faut pas divulgué et qui appartient a la nature, quelque chose de mystique comme cette langue des oiseaux que comprennent les sages comme Merlin dans nos légendes celtes.
Le déchiffrage des stèles scandinaves de l'Époque viking nous montre souvent un texte runique à la gloire d’un guerrier mort en expédition, texte gravé dans un serpent ceinturant l’image principale : c’est là, “la terrible Niddhog” qui, après avoir avalé le monde atlante/ boréen lors du Ragnarök du XIIIe siècle (qui fait référence aux déluges de borée) vient encore d’avaler un de ses fils défunt parti au jusant sur son drakkar (snekkar) mis à feu rituellement.
Ces gravures runiques continuaient la tradition de la gravure du “Cercle de l’Année” des 24 runes/ astérismes dans un serpent en forme de zodiaque décoratif, puisque ces deux systèmes de représentations existent.
Les runes en elles mêmes :
Au niveau basique, une rune est littéralement un mystère qui englobe des secrets fondamentaux de la structure interne de la réalité.
Chaque “caractère” que nous appelons une rune est un réservoir de connaissance et de sens qui n'est apparent que pour ceux qui étudient l'Art runique sous tous ses aspects.
Chaque rune exprime une réalité amorphe mais éternelle qui est révélée dans le monde de notre expérience sous la forme de choses spécifiques ou des processus caractérisés par elle.
Comparée avec d'autre forme de connaissances sacrés les Runes forment un système dynamique, souples, créateur et qui permet un développement à un niveau profond et fondamental, les significations des runes sont fixées mais chaque fois que nous les utilisons nous vivons ou apprenons quelque chose de nouveau avec elles, de nouvelles expériences, des juxtapositions avec des événements symboliques ou mythologiques, et de nouvelle relations avec la terre, le vivant et le divins.
Avec les Runes tout change, aucun moment, et aucun lieu ne se ressemble l'action, les correspondances des archétypes runiques sont affecté par les conditions spécifiques lier au passé, au présent, au futur quand nous les employons.
L'Ouroboros :
Chez les Druides Nordique, le calendrier est ciel fait référence au serpent qui ce mord la queue, le Jörmungandr qui tourne dans la mer, et personnifie l'équateur, on retrouve la même symbolique au niveau du ciel, et des étoiles et constellations.
Ce Serpent est venu à symboliser le Temps qui fuit, et aussi sa mesure sous forme de la roue de l'année d'un calendrier ou du zodiaque .
Le nom ouros “queue” + boros “mordant” . Il ce la mord et tourne en rond ainsi il influe sur le temps et les cycles.
Il y a un lien fort entre ce Wurm diluvien (le déluge de la glaciation de Wurm) certainement lier a certain mythe comme celui ou Odin provoquât un déluge, en tout cas les anciens s'expliquaient entre eux ce genre d'événement par des mythes et des légendes.
Dans le mythe du déluge,Odin ,fatiguer par la brutalité d'Ymir, le tua et le jeta dans le Ginnungagap (« le gouffre béant »). La mort de ce géant déclenchât alors un déluge causé par son sang fut si grand qu'il tua tous les géants, à part le petit-fils de Ymir (Bergelmir, fils de Thrudgelmir) et sa femme. Ces derniers repeuplèrent le monde de géants.
On retrouve des liens entre l’Ouroboros et le gouffre béant, ce mystique et récurrent “serpent qui se mord la queue” symbole de renouvellement de la terre glacée qui suivit la Grande Submersion nordique est le symbole de la Vie (Vouivre) toujours victorieuse.
Ce serpent chthonien ou Ouroboros annonça donc un nouveau “cycle” mais, de même, il annonce toujours la récurrence du renouvellement annuel de la nature avec la naissance d’un Dieu-Fils solaire au Solstice d’Hiver
Le retour du Soleil a Yule (le nom veux dire Roue) et Noël “nouvelle clarté” qui vient de l'acclamation ancienne « Neu Helle ! » (Nouveau Soleil)
De nos jours les runes sont utiliser pour la divination et l'écriture nous sommes peut être face a une perte de substance indéniable, parce que leur usage semble avoir été bien plus profond que cela.
L’Ouroboros est donc l’ancienne Roue de la Vie des nordiques (que les grec appelèrent zodiakos), le Cercle de l’Année” gravé des Runes sacrées.
Hélas cette usage des runes fut perdu puis que puisque interdites par l’Église mais également victime de l'évolution de la pensée des hommes et des sociétés humaine qui ce sont alors basés sur les signes du zodiaque Grecque qui était alors en plus populaire et peut être plus accessible que les runes.
Les runes, les signes du zodiaque et les fêtes Druidiques :
Samhain/Samhuinn:
Cette première fête est, sans étonnement pour quiconque à quelques bases astrologiques, sous le signe du Scorpion et plus particulièrement une pleine Lune en Scorpion
Pour cette période dans notre Astrologie Runique, la rune associer a Samhain serra Thurisaz/Thorn, cette rune qui rappel dans sa forme celle du Scorpion, signifie littéralement « Épine » elle est aussi associer a Thor et a son marteau Mjöllnir. Thurisaz symbolise les forces réactives, la défense et la destruction, parfois le conflit.
On peut penser a ce qu'on a vécus dans l'année a cette période de Samhain et cette rune nous encourage à maîtriser nos instincts. De puissantes forces de régénération et de perpétuation sont associer a cette rune ainsi qu'une tendance vers le changement, la transformation par l’épuration et la catharsis. Thurisaz, c’est aussi l’éclair qui peut illuminer ou détruire.
La négativée, représente la haine, la vengeance, la cruauté et tous les actes dangereux pour soi et les autres issus de la colère. L’épine se rapprochera facilement du dard du scorpion qui est lui-même symbole du poison et de la mort. Thurisaz est la rune de Thor, dieu du Tonnerre et des forces de la nature. On la mettra sans mal en parallèle avec le signe du Scorpion , gouverné par Pluton.
L’équivalent du signe du Scorpion du 23 octobre au 22 novembre aux niveaux de la mythologie peut aussi être représenté par le « Monde de la joie », Gladsheim (lieu de joie) et a Valaskjálf (falaise des tuer) et la volonté de Thor de combattre les forces de Uthgard avec son marteau. Ses runes associées sont Wunjo, Hagalaz , Naudhiz et donc Thurisaz du 28 octobre au 13 novembre .
Pour la célébration de Samhain on va utiliser Hagalaz et Naudhiz pour symboliser les dernière scories de l'année, Thurisaz pour purifier et Wunjo pour nous apporter la joie en ce début de nouvel an celte.
Si le signe du scorpion marque bien la fin et la transformation des choses, la Pleine lune symbolise quant à elle le renouveau du cycle vital (lunaire) et on est donc véritablement dans une période où la vie côtoie la mort, où il existe une dialectique astrologique entre les forces de vie (Soleil et lune) et les forces de morts (Scorpion/pluton) et où les hommes peuvent avoir l’impression d’être au plus proche du royaume des dieux.
Qu’on soit dans une célébration très ritualisée et très solennelle « à l’ancienne » du besoin de travailler sur nos peurs de façon introspective ou alors comme le fond les américains de façon plus festive avec Halloween, on peut très bien intégrer un carnaval d'Halloween a nos célébration de Samhain, ou alors le fête avec nos enfants.
La période est donc propice à s’interroger sur nos angoisses et nos peurs, plus particulièrement sur la mort et sur les choses au-delà de la vie, souvent cachées et pourtant de tout temps pressenties par un certain nombre de mystiques ou de philosophe comme les Druides et les Druidesses qui s'interrogent en permanence sur la signification et le sens profond des choses et de la vie.

Yule/Modra Necht/ Jólablót :
Cette fête de solstice d'hiver fait réferénce a la roue cette roue de l'année à débuté le lendemain de Samhain, en introspection, dans les profondeurs de la terre en honorant ceux qui y sont retournés.
La roue est le symbole de l'année chez les païens qui voient le temps comme un cercle sans fin et non comme quelque chose de linéaire.
La roue de l'année continue et émerge à Yule par la naissance du Dieu Lumière la renaissance du soleil et le commencement de la période de Froid lier au début de Yule autour du 13 Décembre qui corresponde a l'élévation de la grande ours, la polaire, en signe de sagittaire, on marque généralement cette première période de Yule par le Yulewee (le petit Yule) un Blót est célébré. Ensuite les douze jours commence par la nuit des Mères et le solstice autour du 21 Décembre, jusqu'au premier Janvier avec le serment du sanglier.
Qui a donner la fête de Hogmanay en Ecosse.
Pour le 13 Décembre et le petit Yule on retrouve des traces dans le Christianisme des pays Scandinave et en Alsace ou les gens célébrent la Sainte Luce ou Sainte Lucie. On retrouve aussi des trace de ce froid qui arrive avant Yule dans l'expression « fruma jiuleis » (les froids de novembre).
Ensuite Yule prend fin en Janvier en rapport a la Lune on arrive en mois de Thorri avec le Thorrablót. Quand l'étoile polaire qui ce déplace en signe de capricorne, et au moment de la lune du Loup.
par exemple dans un poème d'hommage à Harald aux beaux cheveux où un personnage parle de « boire à Jol ». Jol était le nom de la fête de la mi-hiver ou Jólablót, dans ce poème cela fait référence a la célébration de Yule solstice d'hiver et a sa fin à la mi-janvier.
Pour la célébration de Yule et des douze jours ainsi que la fin de yule et le Thorrablót fin janvier les runes sur la période des signes Sagittaire et Capricorne sont Isa, Gebo, Wunjo, Algiz, Naudhiz, Jera et Dagaz.
Pour la signification de Yule, qui correspond a Noël, Gebo, pour l'échange et le partage, Wunjo pour la joie et la paix, Algiz pour la protection et la préservation et Dagaz pour le retour du soleil.
D'un point de vu astrologique, le rune pour le signe zodiacal du Sagittaire du 23 novembre au 20 décembre, c'est Isa et le lieu qui y correspond c'est la Halle d'Ydalir (la Salle des Ifs) ensuite les autres runes qui sont associées a cette période sont Naudhiz et Jera. Ydalir est le foyer d’Ullr, le dieu du tir à l’arc et du ski. L’arc et le ski sont fabriqués traditionnellement à partir de bois d’if.
Pour Yule on va surtout utiliser Dagaz pour le retour du soleil, Gebo pour le partage et l'échange. Les deux runes associer ensemble en Sigil (Galdrastafur) sont un puissant symbole d'hospitalité en ces nuits d'hiver, le réconfort et le visage d'une personne bienveillante qui ouvre sa porte a un étranger ou a un proche, c'est la plus belle des magies qui soit.
La Halle suivante est celle d’Ydalir – le « Val des ifs ». Elle correspond au . Sa rune principale est Isa (28 novembre-13 décembre) et les deux autres runes associées sont Landvidi, le « Pays blanc », est le foyer du dieu silencieux, Vidar. Landvidi c'est une îles ou ce trouve le Vidarheim, la maison de Vidar.
Les runes qui lui sont associées sont Jera, Eihwaz et Perthro du 28 décembre au 13 janvier.
Il correspond au signe du Capricorne du 21 décembre au 19 janver.
Certains linguistes et lexicographes attribuent au mot français jmi, qui n'a aucune correspondance en latin et dans les autres langues romanes, une origine scandinave par l'intermédiaire du normand, à savoir le vieux norrois jol +suffixe français -if, d'où le dérivé enjoliver (cf. aisif « agréable » sur aise). En effet, le terme apparait pour la première fois vers 1140 dans l'expression estre jolif de femmes « être porté à l'amour sensuel », dans l’Estoire des Engleis de l'écrivain anglo-normand Geoffroy Gaimar, puis un peu plus tard chez Chrétien de Troyes avec le sens de « gai » L'anglais jolly est issu du Français.

Imbolc/Imbolg:
Cette fête de début Février se place en signe du Verseau. Ce signe en analogie avec Uranus, nous parle en effet de vie communautaire, de collaboration et de purification, en effet Imbolc est un moment lier au dégel des rivière et au premier signe du Printemps, sur les ïles Sheltalnds, les Féroé, les îles Orkneys et l'Islande c'est la période de Thorrablót lier au tempête de Janvier-Février qui chasse les derniers frimas de l'influence Hivernale.
On notera également que le Verseau fait avec le Lion, à l’opposé, un axe de lumière : si le soleil du lion irradie, ces rayons sont redistribués à la communauté en Verseau.
En quelques sortes, Le soleil est le centre, l’énergie primordiale, l’émetteur tandis que le verseau est le récepteur, le diffuseur, le répartisseur. L’irradiation unique du centre solaire se divise et se démocratise en Verseau où chacun obtient sa part de lumière, (sa bougie personnelle). L’unité et l’intensité du rayonnement initial ne peut dès lors être retrouver que par le partage : la lumière s’est bien sûr affaiblie en se divisant mais elle peut recouvrer tout son éclat si chacun de ses porteurs s’associe et coopère.
Pour le signe du Verseau du 20 janvier au 18 février c'est le Valaheim, (le lieu d'argent) le mois de Thorri était parfois aussi appeler Lios-Beri (« Porte-lumière ») dans l’ancien calendrier Nordique.
C’est le temps du dieu Vali, le saint Valentin des chrétiens. Selon le mythe de Ragnarök, Vali, le seul dieu qui survécut à la destruction du monde, fut à l’origine de la nouvelle ère.
Les runes qui lui sont associées sont Perthro, Elhaz et la rune Sowulo du 28 janvier au 12 février.
Pour la célébration d'Imbolc nous utilisons aussi les runes Uruz, Kano et Laguz, la première est associée au bétail et au première traite, la deuxième au feu rituel et au torche de la lumière de Brighidh, au retour de l'éclat du soleil et Laguz pour les sources et les rivières au dégèle.

Ostara/Alban Eilir:
Ostara est célébré à l'équinoxe de printemps, quand le jour et la nuit sont égaux. Il est considéré comme le point culminant de la saison printanière, quand la vie s'éveille dans toutes les directions. Comme Imbolc, Ostara est un Festival de l'aube et de la vie croissante. Ostara vient du mot Germain « Ost » ou « Est », une référence pour l'aube et la vie renouvelée.
Les rituels d'Ostara célèbrent la vie renouvelée sous plusieurs formes : on peint des œufs, symboles de renaissance, avec des couleurs vives et on les utilise dans des rites sacrés avant de les manger. Les bébés animaux, spécialement les poussins, canetons, et lapereaux, sont tous symboliques de la saison. Le Lapin, ancien symbole de la Lune, représente le renouvellement de la fertilité de la Terre.
Alban Eilir (ou Alban Eiler) veut dire "La Lumière de la Terre" Alban a le sens aussi d'élévation, On retrouve des similitudes pour le mot Alban qui veut dire "blanc" (donc lumière) en latin ou "aube" en italien (alba), ce qui nous rappelle l'étymologie d'Ostara. A noté qu'Alba c'est aussi le nom Gaélique de l'Ecosse. Le signe astrologique qui entre dans cette période c'est le bélier, un animal qui représente la force vive de la nature vivifier par le soleil et la renaissance.
En période du signe des Poissons du 19 février au 20 mars le lieu a l'honneur c'est Noatun le « Port céleste », Halle du dieu de la mer Njörd. Les runes associées sont Sowulo, Teiwaz et du 27 février au 14 mars c'est la rune Berkano.
Le royaume suivant est celui de Thor, Bilskirnir (Qui est très brillant) c'est une maison ou Thor vit avec son épouse Sif et ses enfants, c'est en signe du Bélier du 21 mars au 20 avril. Les runes associées a cette période sont Berkano, Ehwaz et Mannaz du 30 mars au 14 avril.
Pour Ostara/Alban Eilir nous travaillons avec les runes Berkano, pour le retour de la fertilité et les travaux rituel avec les Déesses de la fertilité et du Printemps comme les Déesses Freya, Dana, Cordélia et Flidais. La Rune Tyr peut être utiliser pour symboliser le triomphe des forces de la lumière sur les nuits d'hiver, c'est d'ailleur sur cette période de l'année que nous célébrons le Sigrblblót (le sacrifice de la victoire) qui est en lien directe avec cette rune, mais des divinités comme le Dieu Tyr ou la Valkyrie Sigrun dons le nom signifie « Rune de la victoire » sont approprier a cette période de l'année, pourquoi ne pas faire un Disablót pour Sigrun comme on en fait au Brynhildrblót/Haustblót pour la Valkyrie Brynhildr ? La rune Sowulo est aussi utiliser pour symboliser le retour du soleil.

Beltaine/Bealltainn:
Cette fête de début mai se place sous l’égide du Taureau et forme donc un axe d’opposition avec Samhain/Scorpion : la période s’étalant entre les deux fêtes était d’ailleurs considérée comme « la période claire de l’année », celle donc pendant laquelle la nature est douce, prodigue.
On ne s’étonnera guère que le bétail soit mis à l’honneur dans ce signe bucolique et lui-même symbolisé par la force tranquille d’un bovin. Mais le taureau, signe d’abondance et d’accumulation doit aussi être perçu au niveau intellectuel : aussi, la réunion des druides, en vue du partage de la connaissance, n’est pas surprenante.
Il est dit plus haut que Beltane est aussi la période de prédilection pour les rites de passage entre l'obscurité et la lumière, entre la mort psychique symbolique et la re-naissance spirituelle, ce qui est aussi une allégorie digne d’intérêt pour qualifier l’axe Taureau/Scorpion.
La Halle de Thrymheim (« Lieu bruyant »), la Halle du géant Thiazzi et de sa fille, la Déesse Skadi, correspond au signe du Taureau du 21 avril au 20 mai. Les runes qui y sont liées sont Mannaz, Laguz et en 29 avril au 14 mai la rune Ingwaz.
Pour Beltaine/Bealltainn nous travaillons avec les runes Mannaz pour le symbolisé le lien avec la communauté et la famille, et Jera pour le travaille a faire sur l'année, le travail de la terre après les semailles et ensuite les récoltes et l'élevage des animaux, pour produire de quoi survivre durant l'hiver prochain.

Litha-Tantad/ Midsummar :
Midsummar blot ou Litha-Tantad, c'est la fête Solaire mais aussi de la gestation, de la renaissance et la fertilité. C'est le moment de l'année le plus fort au niveau solaire, après cette période le soleil décline. Période de purification. La terre est en gestation des cultures et récoltes à venir, les rites de fertilités continuent à être célébrés. Les anciens associaient les cultes et pratiques à la terre et ses saisons, à ce qu'elle nous offre et nous reprend, au temps qu'elle utilise pour son cycle. Cette célébration marque la saison des amours pour les animaux, de la pollinisation et des végétaux qui commencent doucement à émerger de la terre pour grandir et se déployer.
Le Signe lier a Litha-Tantad c'est le Cancer du 21 Juin au 22 Juillet, le signe du Cancer est lié à l'élément de l'Eau
Le Signe du Cancer est lié à l'élément classique de l'Eau. En effet dans la mythologie grecque, il s'agissait également d'un petit crabe envoyé par Héra pour arrêter Héraclès dans son combat avec l'Hydre et qui fut écrasé pour ses efforts.
La rune qui est associer a ce moment de l'année c'est Laguz, la rune de l’Eau, la source de fertilité et de croissance de toute chose. Elle représente le pouvoir créatif, la guérison et la croissance organique, matérielle comme spirituelle.
On associe aussi le feu créatif a cette rune qui correspond a Kano, la torche qui sert a allumer le feu rituel, kano symbolise aussi l'illumination intérieur de l'individu, le feu a la tête qui apporte l'awen. Elle a un lien très fort avec le Druide et le sens cacher de la sagesse.
Pour Litha-Tantad nous travaillons aussi avec Sowilu lier au soleil et a ses forces vives, mais aussi avec Dagaz pour associer les forces de la purification du feu en lien avec les forces du soleil en ce moment particulier de l'année.
Le jour du solstice d’été est le jour le plus long de l'année et marque l'apothéose du cycle solaire. Le soleil est à ce moment à l’apogée de sa puissance.
Le lieu associé a Litha-Tantad et au milieu de l'été et qui correspond au signe du cancer du 21 juin au 20 juillet c'est Himinbjorg (les « Falaises du ciel »), le royaume du dieu gardien Heimdall. Cette période est liée aux runes Dagaz, Fehu et Uruz, Fehu étant la principale du 29 juin au 14 juillet. Les runes du bétail, Fehu et Uruz, rappellent Gjallarhorn, la trompe géante d’Heimdall.

Lughnasadh/Freyrfaxi Haust er Helga:
Lughnasadh, qui débute l’Automne, est aussi une fête mobile qui devrait dans l’absolu être célébrée à la Pleine Lune se rapprochant le plus du 1er août (dite « lune noisette »). Par commodité, elle est souvent placée le premier jour du mois d’Août et elle correspond donc au signe du Lion.
Elle est donc le pendant parfait d’Imbolc, à l’opposé astrologique en Verseau.
Ici, l’humanité célèbre les bienfaits du Roi-soleil et c’est le temps bienheureux où les fruits et les récoltes arrivent à maturité, où la vie est à son apogée avant de retomber et d’annoncer les premières rigueurs de l’automne et les récoltes (en analogie avec le signe suivant de la Vierge).
Lughnasadh est donc la fête solaire par excellence et on ne s’étonnera pas qu’elle soit dédiée à Lugh, divinité celte de la lumière, incarnation évidente de l’astre diurne sous son aspect le plus positif, celui de la générosité et de l’abondance, deux qualités traditionnellement attribuées aux Lions.
Le nom Freyfaxi (Crinière de Freyr) fait référence aux récolte de blés et à l'ancien tradition de sacrifice de chevaux à Freyr qui avait lieu en été après les premières récoltes de grains, bon bien sur nous ne pratiquons plus ce genre de sacrifice, mais faire un blót de bière a Freyr avec comme basse de travail la rune lier au chevaux ehwaz.
Vient ensuite la Salle de Breidablikk « Large éclat » du 21 juillet au 21 août, la Halle du dieu solaire Baldr, un lien entièrement préservé du mal. Les runes associées sont Uruz, Thurisaz et Ansuz du 29 juillet au 13 août.
A cette période nous travaillons aussi avec les runes Odal pour commémorer nos liens entre nous, le clan, les échanges entre personnes dans les foires estivales (ancienne coutume de Lughnasadh) et les assemblées de Druides pour cette période. Nous utilisons également la rune Ingwaz en lien avec Freyr, Ing est un des nos de Freyr sous sont aspect de héros bienfaiteur, cette rune est lier aux récoltes et au joie de l'été d'abondance, délivré de la faim et du froid.

Winter Feeding/Mabon/ Alban Elfed :
Mabon, l'équinoxe d’automne appeler en Ecosse « Winter Feeding » qu'on pourrait traduire par « premier signe de l'hiver » c'est la période de basculement en douceur vers Samhain et la période sombre de l'année, en Gallois Alban Elfed fait référence a l'arriver des pluies. Quand cette célébration arrive le Lion associer a Lughnasadh qui symbolise a puissance et les feux de l'été, passe au signe du verseau, qui apporte l'eau de l'automne et les premiers froids.
C'est une Fête des Moissons est une période particulièrement chargée.
Le travail agricole, tout au long de la saison des récoltes, de Lughnasadh à Samhain, devra être réalisé collectivement et avec des rites simples, en gardant la présence des Dieux à l’esprit, et accompagné de jeux et divertissements là il est possible de les intégrer a vos célébrations dans cette période.
La fête de Mabon/Winteer Feeding/ Alban Elfed est placé sous le signe de la Vierge, ce signe est associer a la runes Odal qui est relier a la propriété héréditaire et a la tradition, les habitudes et rites (familiaux comme culturels), l’importance d’entretenir et de préserver les choses mais aussi le sens du devoir qui nous lie à nos proches. La rune Odal symbolise l'ordre et la prospérité du clan et de l'individu, elle fait aussi référence a notre éducation et a tout ce qui est hérité de nos aïeux ou de notre entourage.
Pour les lieux Breidablikk est suivi par Sokkvabekk du 22 août au 22 septembre ce qui équivaux au signe de la vierge.
Il s’agit du royaume de Sága, la déesse du temps, des événements passés, des contes, et des bardes. Ses runes associées sont Ansuz, Raidho et t Kenaz du 29 août au 13 septembre.
Glitnir correspond au signe de la Balance du 23 septembre au 22 octobre. C’est un royaume d’or et d’argent, la « Halle de splendeur » de Forseti, le dieu de la justice et des forêts. Ses runes associées sont Kenaz, Gebo et Wunjo du28 septembre au 13 octobre.
Nous travaillons avec Eihwas pour symboliser la fin de l'été et des chaleurs les changements que provoque en nous les premières fraîcheur et le rallongement des longues nuits. On éprouve souvent de la mélancolie durant cette période, ça m'arrive des la mi-Août bien souvent de mon côté avec l'arriver de l'ombre et des déesses Sombres, comme Morrigù, Macha, Madb, Nemain, Kerridwen, la Cailleach Rua, Hel et bien d'autres. Nous travaillons aussi avec Ehwas cette rune nous pousse a aller de l'avant et a penser a préparer la saison sombre qui arrive et a travailler nos terre.



Les cycles sur l'homme:
Il est toujours troublant de voir à quel point les êtres humains, souvent malgré eux et de façon inconsciente, sont reliés aux rythmes cosmiques. On peut toutefois légitimement s’inquiéter de constater que nos civilisations modernes, de moins en moins soucieuses de ces rythmes naturels car en recherche constante de productivité et de rendement, nous coupent de plus en plus de notre calendrier intérieur et, de fait, de notre communion avec les forces universelles, la nature.
Il m’a paru intéressant de souligner ici que les rites ancestraux, dans leurs datations, n’avaient rien d’aléatoires ou même de purement culturel : ces célébrations respectaient bien un certain agencement subtil du monde et participaient donc à une véritable communion, osmose entre ses participants et l’Ordre universel.
L'Excursion Stellaire ou la Croix du Nord :
il y a, non loin de l’actuelle étoile polaire, une constellation particulière qui est la Croix du Ciel, appelée aussi Croix du Nord ou Croix d'Odin ou encore la constellation du Cygne (un “signe”) X appelée Don des Dieux ou Rune Gebo par les Nordiques. C’est ce Cygne dont une des étoiles figurait la polaire il y a bien longtemps… L'oiseau qu'elle représente s'étend sur la Voie lactée estivale elle est proche de l'étoile Draco (le Dragon) qui n'est pas sans rappeler nos chères Vikings et leur Drakkar, Traversée par la Voie lactée, elle contient plusieurs étoiles brillantes et de nombreux objets célestes (Orion, Draco, Pégase …).
Cette “Croix du Ciel” ou constellation du Cygne délimite quatre “quadrants” ou cantons/ Temenos dans le Ciel, tout comme quatre saisons sur la Terre car on ne le répétera jamais assez dans une conception holiste du Cosmos qui est de l'ordre du sacré et du magique et n'était par réservé au profane.
Cette constellation du Cygne varie et sa position change signifiante comme cela a été le cas de la correspondance entre les sept “corps célestes” ou Dieux des Panthéons et les sept jours de la semaine grâce à l’heptagramme (une étoile à sept branches ). Nous avons donc placée ce Cygne X (l’Aigle) successivement sur le premier astérisme/ constellation/Rune/ Divinité, dans chaque quadrant, puis sur le second astérisme, enfin sur le troisième, alors nous obtenons le regroupement de toutes les runes par famille fonctionnelle mais, cependant, toujours en total désordre dans chaque Œtt. Cette croix du Nord ou constellation du Cygne forme une sorte de voie céleste d'un point de vu poétique comme sous le regard du Filid, on pourrait faire un rapprochement entre le cygne et les valkyries et leurs casques ailés qu'elles portent fièrement. Cette constellation forme une traînée d'étoiles bien visible par nuit claire, qui n'est pas sans rappeler les Ases et les Asynes nos dieux du Nord et le pont lumineux de Bifröst.


Représentation dans le ciel des signes liée au trois Aetts runiques :
Les Aett sont au nombre de trois l'Hagall-Œtt, le Freyja-Œtt et le e Tyr-Œtt, c'est groupe runique lier a Heimdall, Freya et Tyr viennent de l' l'Ancien Elder Futhark comprend 24 runes.
Dans l'Astronomie la précession des équinoxes nous fait sauter d’un signe tous les “Grands mois” de 2.160 ans (25.920/ 12, ou bien 540 Portes du Valhalla x par les 4 directions de l’espace), chaque rotation des étoiles dans le ciel du signe Druidique du Saumon/ Poissons au signe de Poséidon/ Verse-Eau, puis à celui du Narval/ Capricorne. Nous montre qu'il est probable que ce système aurait été totalement mis au point il y a trois Éres alors que la rune Gebo X constellation du Cygnus/ Kyknos correspondait à la croix formée par la ligne Midi-Nord et celle des Équinoxes, à l’époque où cet alpha du Cygne était la Polaire ? (les étoiles polaire changent au fil du temps avec les mouvement de rotation de la terre) Selon Christian Mandon cela daterait ce système dans cet état de perfection – de 6.480 ans soit 4480 Av J.C. Il faut aussi remarquer que l'observatoire mégalithique de Stonehenge date du quatrième millénaire il est fort probable qu'il y ai un lien entre les deux systèmes calendaires.
«-Les anciens druides avaient l’habitude d’observer le passage des étoiles dans le ciel depuis le bas d’une cheminée creusée dans le sol, donnant naissance au vieil adage “la Vérité repose au fond du puits”.».
-Nigel Campbell Pennick- (Magie du Nord, aux éditions Pardès).

Les Trois Aetts runiques :

Le première Aett Hagall:
Pour les trois Capricorne, nous voyons l’Hagall-Œtt, qui regroupe les Couples Divins (ou runes) suivants : le Tertre Suprême et l'utilité de la nuit, la Glace Is et Berchta ou Hel, l’Anneau (de l’année) Jera et le Soleil victorieux Sol-Sigr (sowilo), et enfin Algiz-Y(ymir) (les 3 branches et les trois racines de l’Yggdrasill). Là, règne la Terre Mère et ses Nornes, et le Roi Cerf Kernunnos.
Le deuxième Aett Freyja:
Pour le signe du verseau ou le « Verse-Eau » nous avons le Freyja-Œtt, qui regroupe : le Grande Dispersion (Raido) et la Grue migratrice (Cygne X Gebo), L’Ase (Ansuz) et l’Aurochs (Uruz). Freya et le Bonheur Wen (wunjo) qu’elle accorde, et enfin les Thurisaz (le Marteau) contre les Géants.
Avec la Torche Ken (Kenaz) qui symbolise le feu maîtrisé. Ainsi s'étende le règne la Vanadis et le Grand Ase avec son marteau.
Le troisième Aett Tyr :
Pour finir le signe des Poissons/ Saumons nous avons le Tyr-Œtt , qui regroupe sous le règne de Tyr le Dieu Héros qui sacrifie sa main pour protéger le monde du Loup géant Fenrir. On pourrait également voir un lien avec la la Dame du Lac et l'épée qu'elle garde. l’Homme Mann (Mannaz) qui passe entre les Deux Montagnes avec ses Bûchettes de Bouleau (“lettres” runiques), sa Descendance iNg (Ingwaz) de sang pur Odal, et enfin son cheval Ehwaz qui le mène, qui le “conduit” à l’Assemblée des Dieux, le Dag/ Diète (un Thing ou une Table Ronde) réuni le Jour du solstice d’hiver Dagaz.





Pour aller plus loin voir ce site internet en Anglais (quelque photos de ce site m'ont servie a illustrer mon sujet): http://alynptyltd.tripod.com/TheRunicSky/TheRunicSky.htm

La compassion en Druidisme

  La Nature de la compassion en spiritualité : Crée des frontières, trouver compréhension et équilibre avant de continuer : Quand on arriv...