Les
Pratiques de cueillette et de récolte des plantes:
Il
ne nous est pas possible de retrouver l'ensemble de toutes les
pratiques des druides dits 'antiques' mais nombres de coutumes et de
tradition ce sont transmisse chez les druides des traditions
Gaéliques et Brittoniques notamment aux cours du moyen ages et toute
cette sagesse c'est ensuite transmisse dans les campagnes quand le
druidisme c'est fait discret survivant au travers de la sagesse
populaire et du folklore. Des guérisseurs et des rebouteux.
La
Récolte des plantes:
Le Druide a conscience du temps qui passe dans la nature, en ce reliant a elle, dans son quotidien, et dans sa spiritualité, dans la conscience du présent.
Pour nous aujourd'hui la cueillettes doit avant tout rester un moment de plaisir, un moment de détente et de ressourcement.
Je fait toujours mes séances de cueillettes en les considérant comme des rituels en soit. En tout cas de façon intimes avec la nature, la forêt, celle des songes et des contes de fées, celle de l'ancienne sagesse et des retours primaires, la forêts lieu saint ou tout ce qui vie, nous aide a reprendre pieds et a nous enraciner dans le moment présent, dans le passé et dans l'avenir.
Dans les séances de cueillettes druidiques munissez vous d'un couteau, ou d'une serpe, d'un sac et de bottes, d'une cape s'il y a du vent et de votre plus belle enthousiasme pour ce moment de communions avec la terre et les bois. N'oublions pas que dans ces moment la c'est aussi a chacun d'entre nous de déterminer ce qui lui semble juste pour lui même. Quels que soient l'heure de la récolte, le jour et bien sur la tenue du cueilleur, rien n'est plus important que l'amour, le respect et la gratitude.
Ce sont les aspects primordiaux de la philosophie druidique et ce qu'il faudrait en retenir.
Toujours la nature est belle et ce monde de verdure nous invite a le découvrir et a aller a sa rencontre. A nous d'y mettre toute notre coeur.
Le Druide a conscience du temps qui passe dans la nature, en ce reliant a elle, dans son quotidien, et dans sa spiritualité, dans la conscience du présent.
Pour nous aujourd'hui la cueillettes doit avant tout rester un moment de plaisir, un moment de détente et de ressourcement.
Je fait toujours mes séances de cueillettes en les considérant comme des rituels en soit. En tout cas de façon intimes avec la nature, la forêt, celle des songes et des contes de fées, celle de l'ancienne sagesse et des retours primaires, la forêts lieu saint ou tout ce qui vie, nous aide a reprendre pieds et a nous enraciner dans le moment présent, dans le passé et dans l'avenir.
Dans les séances de cueillettes druidiques munissez vous d'un couteau, ou d'une serpe, d'un sac et de bottes, d'une cape s'il y a du vent et de votre plus belle enthousiasme pour ce moment de communions avec la terre et les bois. N'oublions pas que dans ces moment la c'est aussi a chacun d'entre nous de déterminer ce qui lui semble juste pour lui même. Quels que soient l'heure de la récolte, le jour et bien sur la tenue du cueilleur, rien n'est plus important que l'amour, le respect et la gratitude.
Ce sont les aspects primordiaux de la philosophie druidique et ce qu'il faudrait en retenir.
Toujours la nature est belle et ce monde de verdure nous invite a le découvrir et a aller a sa rencontre. A nous d'y mettre toute notre coeur.
La
cueillette des Druides autrefois:
Traditionnellement la récolte des plantes chez les druides était un rituel sacré. Les récits historiques de la cueillette du Gui chez les druides nous montrent bien à quel point nos valeurs et nos considérations ne ce sont pas autant éloignée de celles qu'en avaient les anciens.
Traditionnellement la récolte des plantes chez les druides était un rituel sacré. Les récits historiques de la cueillette du Gui chez les druides nous montrent bien à quel point nos valeurs et nos considérations ne ce sont pas autant éloignée de celles qu'en avaient les anciens.
La
vision sacrée de la plante chez le druide:
Nous retrouvons ici la notion de sacré en lien avec la terre et certainement avec le mythe de la création. Mais n'oublions pas aussi la notion de sacrifice, en effet pour les druides la plante est un être vivant a part entière, habitée par une conscience et un esprit en lien avec le tout, en lien avec le cosmos et le marcocosme et le microcosme. La plante peut même pour nous être la résidence des divinités mineurs tels que les landvaettir (les esprits de la terre) que sont le petits peuples ou d'autre divinité comme le Green man (l'homme vert). En tout cas les plantes portent en elle, quelque chose qui les relies aux sacrés et ça en plus de leurs vertus médicinal de première importance.
Considérer la plante sous cette angle donne un toute autre sens a la cueillette et en fait donc un acte pas anodin,empreint de sacrée et donc un moment privilégié, qui de plus chez les Draoidh-Liaig (le Druide médecin) d'Irlande et d'Ecosse, ou chez les Uatis (Gaulois) ou les Ovates (Bretons) ces de cette cueillette sacrée dont dépendait la qualité des processus de guérison.
Nous retrouvons ici la notion de sacré en lien avec la terre et certainement avec le mythe de la création. Mais n'oublions pas aussi la notion de sacrifice, en effet pour les druides la plante est un être vivant a part entière, habitée par une conscience et un esprit en lien avec le tout, en lien avec le cosmos et le marcocosme et le microcosme. La plante peut même pour nous être la résidence des divinités mineurs tels que les landvaettir (les esprits de la terre) que sont le petits peuples ou d'autre divinité comme le Green man (l'homme vert). En tout cas les plantes portent en elle, quelque chose qui les relies aux sacrés et ça en plus de leurs vertus médicinal de première importance.
Considérer la plante sous cette angle donne un toute autre sens a la cueillette et en fait donc un acte pas anodin,empreint de sacrée et donc un moment privilégié, qui de plus chez les Draoidh-Liaig (le Druide médecin) d'Irlande et d'Ecosse, ou chez les Uatis (Gaulois) ou les Ovates (Bretons) ces de cette cueillette sacrée dont dépendait la qualité des processus de guérison.
"-Les
druides n'ont rien de plus sacré que le Gui et l'arbre qui le porte,
pourvu que ce soit un chêne rouvre [...] On trouve très rarement du
Gui (rouvre) et, quand on en a découvert, on le cueille en grande
pompe religieuse. Ce doit être avant tout au sixième jour de la
lune, qui marque chez eux le début des mois, des années et des
siècles [...] Ils l'appellent dans leur langue "celui qui
guérit tout". Ils préparent selon les rites au pied de l'arbre
un sacrifice et un festin religieux[...]"
-Extrait de l'Histoire Naturelle, XVI, 95 de Pline l'Ancien.-
-Extrait de l'Histoire Naturelle, XVI, 95 de Pline l'Ancien.-
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