La
Magie de la musique et des Bardes :
La signification du nom d’Odin :
Le nom d’Odin en Norrois c’est une évolution linguistique de Wotan. À l’origine, au sortir de l’âge du bronze, le Dieu se nommait Wodanaz. Ensuite, selon les différences linguistiques le nom évolua sous différentes formes, mais qui se basèrent toujours sur les mêmes racines.
Les Francs l’appelaient Wodan, en vieil-haut-allemand (moyen-âge) il se nommait Wuotan puis Wotan. En proto-indo-européen c’était Uoten, probablement Uotendeuos ou Uoten-devos chez les Gaulois sur les bords du Rhin.
Les Saxons le nommèrent Woden. En norrois, la langue parlée par les Scandinaves, le nom du Dieu perdit le « W » pour des raisons phonétiques de la langue, ce qui fit évoluer le nom en Odin.
Le nom proto-germanique Wodanaz s’est développé à partir de l’adjectif wodaz qui a un lien avec d’autres langues indo-européennes comme en latin Ovates, Vates ou en gaélique irlandais Fáith, ou Filidh ces mots qui signifient « Voyant, prophète ».
En proto-germanique existait aussi le verbe wodjanan, qui se traduit par Rager, verbe qu’on retrouve avec le norrois æða, qui lui aussi se traduit par Rager. Le gothique woþs quant à lui veut dire Possédé. En norrois, Óðr peut quand a lui ce traduire par extase ou transe, mais ce mot norrois a la particularité d’avoir un double-sens, car il se traduit aussi par Chant, Poésie. L’époux que Freya a perdu avait aussi pour nom extase, transe ou poésie en norrois.
En vieil anglais, Wód se traduit quand a lui par Folie Frénétique, Furie ou Fureur.
En vieil-haut-allemand, le mot Wuot signifie Furie, Rage, Agitation violente, mot qui a complètement survécut en allemand moderne avec die Wut, mot qui regroupe plusieurs notions en français : la colère, la rage, et la fureur. Odin est celui qui gère la fureur poétique, qui lui confère la sagesse et la magie.
Le nom d’Odin avec le temps pris le sens de « Seigneur de
la poésie » ses fonction de voyant, de sage et de grand poète
runique en fait le dieu le plus populaire chez les Filidh les Skalds
et tout les Bardes du nord.
La signification du nom d’Odin :
Le nom d’Odin en Norrois c’est une évolution linguistique de Wotan. À l’origine, au sortir de l’âge du bronze, le Dieu se nommait Wodanaz. Ensuite, selon les différences linguistiques le nom évolua sous différentes formes, mais qui se basèrent toujours sur les mêmes racines.
Les Francs l’appelaient Wodan, en vieil-haut-allemand (moyen-âge) il se nommait Wuotan puis Wotan. En proto-indo-européen c’était Uoten, probablement Uotendeuos ou Uoten-devos chez les Gaulois sur les bords du Rhin.
Les Saxons le nommèrent Woden. En norrois, la langue parlée par les Scandinaves, le nom du Dieu perdit le « W » pour des raisons phonétiques de la langue, ce qui fit évoluer le nom en Odin.
Le nom proto-germanique Wodanaz s’est développé à partir de l’adjectif wodaz qui a un lien avec d’autres langues indo-européennes comme en latin Ovates, Vates ou en gaélique irlandais Fáith, ou Filidh ces mots qui signifient « Voyant, prophète ».
En proto-germanique existait aussi le verbe wodjanan, qui se traduit par Rager, verbe qu’on retrouve avec le norrois æða, qui lui aussi se traduit par Rager. Le gothique woþs quant à lui veut dire Possédé. En norrois, Óðr peut quand a lui ce traduire par extase ou transe, mais ce mot norrois a la particularité d’avoir un double-sens, car il se traduit aussi par Chant, Poésie. L’époux que Freya a perdu avait aussi pour nom extase, transe ou poésie en norrois.
En vieil anglais, Wód se traduit quand a lui par Folie Frénétique, Furie ou Fureur.
En vieil-haut-allemand, le mot Wuot signifie Furie, Rage, Agitation violente, mot qui a complètement survécut en allemand moderne avec die Wut, mot qui regroupe plusieurs notions en français : la colère, la rage, et la fureur. Odin est celui qui gère la fureur poétique, qui lui confère la sagesse et la magie.
Afin
de parler de la magie des bardes et de l'inspiration poétique je
vais vous parler de cette histoire que j'aime beaucoup pour illustré
le sujet celle d'Odin et de l'Hydromel de l'inspiration.
« -Après le Guerre entre les Ases et les Vanes les Dieux crachèrent dans un chaudron magique (l'Odrerir qui remue le coeur).
Pour sceller la paix de leur salive naquit le Géant Poète et Barde: "Kvasir" qui fut admit parmi les Dieux et très aimer par Odin et Bragas.
Ils chantèrent ensemble. Mais un jour deux affreux Nains du Svartalfhiemr: "Fjalar et Galar", furent très jaloux, du savoir et du Bardisme, des poèmes et de l'instruction de Kvasir.
Et en plus il était aimer des Dieux d'Asgard et des Hommes sur le Midgard. Alors ils lui tendirent un piège ils allèrent au Valhalla aider par le fourbe Loki qui aimait voir les Dieux et les Hommes souffrir.
Les deux Nains Fjalar et Galar tuèrent Kvasir et ensuite ils distillèrent son sang, puis le mélangèrent à du miel afin d'obtenir un très puissant Hydromel. (boisson obtenue par fermentation de miel additionné d'eau) pouvant doter a quiconque le boit, la sagesse, la force de l'Esprit, l'Inspiration poètique, l'éloquence des Bardes ou du Dulr et la connaissance des formules magiques.
Les deux Nains furent obligés plus tard, de donner l'hydromel au Géant "Suttung" Loki les forcèrent a ce séparer de cet hydromel.
Suttung le Géant venait de tuer son père et sa mère, ce fut le prix imposer par le Dieu Fourbe Loki pour obtenir de sa part cet Hydromel. Suttung sachant la valeur inestimable de l'Odrerir, Hydromel Magique des Dieux.
Il demanda a sa fille "Gunnlöd" de cacher l'Hydromel dans sa grotte.
Des années plus tard. Odin décida de s'emparer de l'Hydromel afin de l'offrir aux Dieux d'Asgard a ses Berserker du Valhalla et aux Hommes du Midgard.
Pour cela il se métamorphosa en un homme, un serpent et en un aigle: d'abord il prit l'apparence d'un homme du nom de: "Bölverk" et tua dans une bagarre neuf serviteurs de "Baugi" le frère de "Suttung".
Il proposa d'accomplir la tâche de travail de ses neuf serviteurs disparus s'il lui donnait a boire une gorgée d'hydromel.
Baugi accepta, mais son frère Suttung refusa cette demande.
Alors "Bölverk" (Odin), avec la complicité de Baugi, s'empara du breuvage sacré. Baugi creusa durant neuf nuits le flanc de la montagne des Géant du Utgard.
Odin se métamorphosa en serpent et se faufila à travers la montagne jusqu'a la grotte de Gunnlöd.
Séduite par la gentillesse du Dieu Odin. Elle lui demanda s'il pouvait lui chanter une chanson.
Odin chanta pendant neuf jours. Il dit alors à Gunnlöd qu'il avait soif et qu'il désirait boire.
Elle le laissa donc boire une gorgée de l'hydromel, mais Odin avait très soif et il but le breuvage jusqu'a la dernière goutte, puis il se métamorphosa en Aigle et il s'envola pour le Valhalla, la demeure des Dieux d'Asgard. Et c'est ainsi que l'Hydromel fut partager entre les Dieux et les Hommes. »
Odin est le dieu de la poésie, son nom signifie « Seigneur de la poésie » ou « Fureur poétique ». Il a eu un fils qui est connue pour sa langue dorée sur laquelle sont inscrites des runes c'est Braga. Sa fille Saga quand a elle veille sur la transmition des contes et des histoires fabuleuses c'est de cette déesse que vient le terme « saga » ou le mot sagace, sagesse … etc.
Mais d'autre dieu fabuleux usent de magie sacrée et bardique comme Dagda ou Brighidh.
Héritiers des hommes d'inspiration, prêtres et orateurs fonctionnels indo-européens, les bardes ont joué un rôle déterminant dans la tradition primordiale des celtes et des hommes du nord, l'oralité et la transmission par l'émotion. Ils atteignent des états d'extases de poésie inspiré et accomplissent des voyages chez les dieux qu'ils tentent parfois de transmettre sous la forme d'un conte tel Thomas the Ryhmer un célébre Draoidh File des hautes terres de l'Ecosse médiéval. Les Bardes portaient la musique et le chant en très haute estime et cet art prenait une forme magique lier a l'émotion qu'il souhaitait transmettre, comme le décrit Tacite les chant appeler Bardits pouvaient exalté le courage des guerrier, mais comme le mentionne l'histoire du héros Fionn MacCumhaill a Tara le soir de samhain la musique sacrée pouvait endormir l'auditoire de tel sorte que cela devait paraître juste « magique » on pourrait dire même plus que cette musique pouvait « enchanté » l'auditoire.
La magie de Dagda, d'Odin et de Braga, la Magie des Bardes:
Les Trois art anciens des grand bardes et des dieux musiciens sont :
Les premiers hommes on vite découvert qu'ils pouvaient créer des rythmes et des sons agréables avec des percussions au départ fait avec des troncs d'arbres évidés ou des os, des instrument plus complexe comme des tambours furent crée plus tardivement ainsi que des harpes.
La Musique a quelque chose de sacré qui nous touche au plus profond de l'âme et qui est mit en valeur par les Draoidh Filidh et les Bardes, chanter ou jouer d'un instrument, récité des poèmes ou chanter des Galdar et d'autre incantation libère l'esprit.
Les Druides sont lier a la science de Pythagore et la pensé Pythagoriciennes considére que la musique est une suite de nombres en harmonie avec le reste du cosmos.
Dans la civilisation celtique ancienne la harpe était lier aux bardes de cours chez les seigneurs les instruments à percussions tel que le bodhran était plus utiliser dans les campagnes ou dans le cadre de rituel agraires. Les cornemuses dons l'ancêtre étaient les Carnyx a garder un côté guerrier mais reste un instrument de fêtes et de célébrations. Et c'est le plus populaire dans les pays Celtes.
La Harpe ce dit Clairseach en Gaelique et Telenn en Breton autrefois en bretagne la harpe était un des trois objets insaisissables par ordre de justice au côté du livre et de l'épée. Ce qui en fait un objets sacré et magique voir intouchable avec une forte symbolique.
La musique dans son sens sacré et druidique redonne toute la plénitude et la sensibilité de l'être au barde et a son auditoire.
Pour nos dieux ce sont Dagda ("le bon dieu", ou le "dieu Druide") et sa fille Brighidh (la patronne des Bardes)chez les Tuatha des Dannan et chez les Ases Odin (le "seigneur de la poésie" ou "fureur extatique") et son fils Braga( dit "a la langue dorée") et sa fille Saga ("beauté du chant") qui nous apporte et animent en nous les trois actes sacrés ou les trois magies de la musique et des chansons que sont Geantrai, Goltrai et Suantrai.
La musique êtait sacré et on avait coutume de dire en Irlande que les meilleurs des Draoidh Filidh étaient capable s'ils trouvaient l'équilibre en eux de jouer comme si rien d'autre au monde n'était plus importat que la musique ou comme si leur instrument était une partie d'eux qui leur permettaient en quelque sorte de parler aussi bien qu'avec leur langue, tel Braga est sa langue enchantée. Quand ils trouvaient l'équilibre idéale en eux et qu'il arrivaient a jouer a la perfection ils étaient alors capable de faire rire les gens quand ils jouaient sur le "Geantrai"(le mode de la joie), mais aussi de faire pleurer toute une assemblée s'ils jouaient sur le "Goltrai" (mode des lamentations) mais ils étaient également capable d'endormir leur auditoire sur le "Suantrai" (le mode du sommeil). On peut voir dans l'art du Suantrai peut être l'ancêtre de nos berceuses.
« -Après le Guerre entre les Ases et les Vanes les Dieux crachèrent dans un chaudron magique (l'Odrerir qui remue le coeur).
Pour sceller la paix de leur salive naquit le Géant Poète et Barde: "Kvasir" qui fut admit parmi les Dieux et très aimer par Odin et Bragas.
Ils chantèrent ensemble. Mais un jour deux affreux Nains du Svartalfhiemr: "Fjalar et Galar", furent très jaloux, du savoir et du Bardisme, des poèmes et de l'instruction de Kvasir.
Et en plus il était aimer des Dieux d'Asgard et des Hommes sur le Midgard. Alors ils lui tendirent un piège ils allèrent au Valhalla aider par le fourbe Loki qui aimait voir les Dieux et les Hommes souffrir.
Les deux Nains Fjalar et Galar tuèrent Kvasir et ensuite ils distillèrent son sang, puis le mélangèrent à du miel afin d'obtenir un très puissant Hydromel. (boisson obtenue par fermentation de miel additionné d'eau) pouvant doter a quiconque le boit, la sagesse, la force de l'Esprit, l'Inspiration poètique, l'éloquence des Bardes ou du Dulr et la connaissance des formules magiques.
Les deux Nains furent obligés plus tard, de donner l'hydromel au Géant "Suttung" Loki les forcèrent a ce séparer de cet hydromel.
Suttung le Géant venait de tuer son père et sa mère, ce fut le prix imposer par le Dieu Fourbe Loki pour obtenir de sa part cet Hydromel. Suttung sachant la valeur inestimable de l'Odrerir, Hydromel Magique des Dieux.
Il demanda a sa fille "Gunnlöd" de cacher l'Hydromel dans sa grotte.
Des années plus tard. Odin décida de s'emparer de l'Hydromel afin de l'offrir aux Dieux d'Asgard a ses Berserker du Valhalla et aux Hommes du Midgard.
Pour cela il se métamorphosa en un homme, un serpent et en un aigle: d'abord il prit l'apparence d'un homme du nom de: "Bölverk" et tua dans une bagarre neuf serviteurs de "Baugi" le frère de "Suttung".
Il proposa d'accomplir la tâche de travail de ses neuf serviteurs disparus s'il lui donnait a boire une gorgée d'hydromel.
Baugi accepta, mais son frère Suttung refusa cette demande.
Alors "Bölverk" (Odin), avec la complicité de Baugi, s'empara du breuvage sacré. Baugi creusa durant neuf nuits le flanc de la montagne des Géant du Utgard.
Odin se métamorphosa en serpent et se faufila à travers la montagne jusqu'a la grotte de Gunnlöd.
Séduite par la gentillesse du Dieu Odin. Elle lui demanda s'il pouvait lui chanter une chanson.
Odin chanta pendant neuf jours. Il dit alors à Gunnlöd qu'il avait soif et qu'il désirait boire.
Elle le laissa donc boire une gorgée de l'hydromel, mais Odin avait très soif et il but le breuvage jusqu'a la dernière goutte, puis il se métamorphosa en Aigle et il s'envola pour le Valhalla, la demeure des Dieux d'Asgard. Et c'est ainsi que l'Hydromel fut partager entre les Dieux et les Hommes. »
Odin est le dieu de la poésie, son nom signifie « Seigneur de la poésie » ou « Fureur poétique ». Il a eu un fils qui est connue pour sa langue dorée sur laquelle sont inscrites des runes c'est Braga. Sa fille Saga quand a elle veille sur la transmition des contes et des histoires fabuleuses c'est de cette déesse que vient le terme « saga » ou le mot sagace, sagesse … etc.
Mais d'autre dieu fabuleux usent de magie sacrée et bardique comme Dagda ou Brighidh.
Héritiers des hommes d'inspiration, prêtres et orateurs fonctionnels indo-européens, les bardes ont joué un rôle déterminant dans la tradition primordiale des celtes et des hommes du nord, l'oralité et la transmission par l'émotion. Ils atteignent des états d'extases de poésie inspiré et accomplissent des voyages chez les dieux qu'ils tentent parfois de transmettre sous la forme d'un conte tel Thomas the Ryhmer un célébre Draoidh File des hautes terres de l'Ecosse médiéval. Les Bardes portaient la musique et le chant en très haute estime et cet art prenait une forme magique lier a l'émotion qu'il souhaitait transmettre, comme le décrit Tacite les chant appeler Bardits pouvaient exalté le courage des guerrier, mais comme le mentionne l'histoire du héros Fionn MacCumhaill a Tara le soir de samhain la musique sacrée pouvait endormir l'auditoire de tel sorte que cela devait paraître juste « magique » on pourrait dire même plus que cette musique pouvait « enchanté » l'auditoire.
La magie de Dagda, d'Odin et de Braga, la Magie des Bardes:
Les Trois art anciens des grand bardes et des dieux musiciens sont :
- = Geantrai, (musique de la joie)
- = Goltrai (musique de la douleur)
- = Suantrai (musique du sommeil)
Les premiers hommes on vite découvert qu'ils pouvaient créer des rythmes et des sons agréables avec des percussions au départ fait avec des troncs d'arbres évidés ou des os, des instrument plus complexe comme des tambours furent crée plus tardivement ainsi que des harpes.
La Musique a quelque chose de sacré qui nous touche au plus profond de l'âme et qui est mit en valeur par les Draoidh Filidh et les Bardes, chanter ou jouer d'un instrument, récité des poèmes ou chanter des Galdar et d'autre incantation libère l'esprit.
Les Druides sont lier a la science de Pythagore et la pensé Pythagoriciennes considére que la musique est une suite de nombres en harmonie avec le reste du cosmos.
Dans la civilisation celtique ancienne la harpe était lier aux bardes de cours chez les seigneurs les instruments à percussions tel que le bodhran était plus utiliser dans les campagnes ou dans le cadre de rituel agraires. Les cornemuses dons l'ancêtre étaient les Carnyx a garder un côté guerrier mais reste un instrument de fêtes et de célébrations. Et c'est le plus populaire dans les pays Celtes.
La Harpe ce dit Clairseach en Gaelique et Telenn en Breton autrefois en bretagne la harpe était un des trois objets insaisissables par ordre de justice au côté du livre et de l'épée. Ce qui en fait un objets sacré et magique voir intouchable avec une forte symbolique.
La musique dans son sens sacré et druidique redonne toute la plénitude et la sensibilité de l'être au barde et a son auditoire.
Pour nos dieux ce sont Dagda ("le bon dieu", ou le "dieu Druide") et sa fille Brighidh (la patronne des Bardes)chez les Tuatha des Dannan et chez les Ases Odin (le "seigneur de la poésie" ou "fureur extatique") et son fils Braga( dit "a la langue dorée") et sa fille Saga ("beauté du chant") qui nous apporte et animent en nous les trois actes sacrés ou les trois magies de la musique et des chansons que sont Geantrai, Goltrai et Suantrai.
La musique êtait sacré et on avait coutume de dire en Irlande que les meilleurs des Draoidh Filidh étaient capable s'ils trouvaient l'équilibre en eux de jouer comme si rien d'autre au monde n'était plus importat que la musique ou comme si leur instrument était une partie d'eux qui leur permettaient en quelque sorte de parler aussi bien qu'avec leur langue, tel Braga est sa langue enchantée. Quand ils trouvaient l'équilibre idéale en eux et qu'il arrivaient a jouer a la perfection ils étaient alors capable de faire rire les gens quand ils jouaient sur le "Geantrai"(le mode de la joie), mais aussi de faire pleurer toute une assemblée s'ils jouaient sur le "Goltrai" (mode des lamentations) mais ils étaient également capable d'endormir leur auditoire sur le "Suantrai" (le mode du sommeil). On peut voir dans l'art du Suantrai peut être l'ancêtre de nos berceuses.
Une
autre forme de magie qui doit être aborder et en lien avec
l'histoire d'Odin et de l'hydromel c'est celle de l'alcool, les
boissons fermenté surtout l'hydromel et la bière étaient
considérer comme sacré par les état modifier de la conscience
qu'elles procurent, proche de l'extase et des état de transe
poétique, ces boisson permettaient aux guerrier avant un combat de
voir leur barrière intérieur disparaître temporairement ce qui
leur permettait de ne plus éprouver de peurs, d'angoisses et de
craintes, les druides avec leur connaissance des plantes on très
probablement associer l'hydromel cette boisson des dieux avec des
plantes sacrés ou connue pour leur vertus magique ou médicinale. La
BD Astérix n'est pas aussi éloigner qu'on ne le pense du rapport au
« magique » lier a la boisson. Pour les anciens il
n'était pas question de sauter partout en tapant sur des Romains
Mais le fait de recevoir de la mains des druides ce breuvage sacré
et de ne plus éprouver ni doute ni crainte avant un combat devait
très certainement être vécus comme quelque chose d'extraordinaire.
Comme si la personne entrait en contacte pour un temps avec des
forces ou des choses plus grandes que lui même.
L'emblême des Draoidh Filidh (les Bardes Insulaires) et vites devenus l'emblème du pays ou ils avaient la plus grande renommée a savoir l'Irlande, mais la harpe est aussi lier a notre Merlin Breton et c'est aussi le symbole de Saint Hervé, le patron des bardes et des musiciens en Bretagne.
Leur souvenir et leur art sacré restant ainsi toujours dans notre culture sous une forme ou une autre.
L'emblême des Draoidh Filidh (les Bardes Insulaires) et vites devenus l'emblème du pays ou ils avaient la plus grande renommée a savoir l'Irlande, mais la harpe est aussi lier a notre Merlin Breton et c'est aussi le symbole de Saint Hervé, le patron des bardes et des musiciens en Bretagne.
Leur souvenir et leur art sacré restant ainsi toujours dans notre culture sous une forme ou une autre.
« -Les Bardes entonnent le chants de l'homme libre, ancienne figure enfouie dans la mèmoire des hommes. Torse découvert et pieds nus, il marche dans la poussière de ce monde. Il n'a besoin d'aucun des pouvoirs secrets des dieux car, directement sur son ordre, les arbres morts refleurissent. »
-Sagesse Druidique-